Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1808, volume 24)

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13AROMTRIQUEMENT.

HAUTEURS ItIESUPAES de mon baromètre. Le-pont est élevé de dix Élévmion absolue mètres an-dessus des basses 'eaux. en mètres.

Ici le sol naturel est à découvert. Ce sont

de grands bancs de sables volcaniques agglutinés en une sorte de grès-, et remplis de pissasphalte qui en découle çà et là. On y trouve

aussi de superbe calcédoine. Ces .bancs ternent avec des couches plus minces de calcaire marneux, contenant de grosses.coquilles fluviatiles. 2. RUISSEAU qui traverse la grande route du Pont du Chàteau à Clermont, vis-à-vis Lempele. 337'.3. RUISSEAU du Pont de Lempele , sur la même 335 route RUISSEAU du Pont d' Arbet , sur la même route 341 RUISSEAU qui coule au.pieà du Puy de Crouë1,

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bancs calcaires. Dans l'énumération des monticules qui appartiennent à cet ordre, je ne fais pas mention de ceux que recouvrent des laves subsistantes. Il en sera question ci-dessous dans le quatrième paragraphe. Ceux-là o, nt principalement le calcaire marneux Pour base, et il est au moins douteux que les grès volcaniques qui

les environnent, fassent partie de leurs cou-

ches. S'il venait à se vérifier, que ces grès leur fussent totalement étrangers, ce fait, bien constaté, fixerait nettement l'époque des premières éruptions de laves trapéennes , et la placerait au milieu de la période durant laquelle les terrains secondaires ont été formés.

du côté de l'orient, près de la même route. 340 cnmètres.

Couns D'EAU t'Ill IVIonqin , au-dessous des Ur.-

sulin.es de Mont-Ferrand. .

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343

Les hauteurs , n". 2 , 3, 4, sont déterminées par le 'nivellement ; les deux derniè-

res par le baromètre. Elles se confirment mutuellement.

II. Restes épars des Coztches qui couvraient le sol actuel, et constitztaient une ancienne plaine beaucoup plus élevée.

Calcaires marneux; sables, tantôt granitiques, tantôt volcaniques, libres ou réunis par la pression , ou agglutinés par lé pissaspbalte quelques bancs d'argile. Ces dépôts, quelle que soit leur nature, appartiennent thus a la même formation , car on les trouve ordinairement disposés par couches alternatives. L'époque de leur naissance -est celle où les débris des montagnes granitiques et balsatiques bu t commencé à être charrié dans le eaux qui"dépoSaient les

PUY DE LA PEGE , ou de la Poix. Elévation ab-

solue.

352.,

Petite éminence, dont l'élévation au-dessus du sol commun, n'excède pas douze Mètres. Elle est formée de brèche à fi-agmens volcaniques, où s'intercalent,des couches de ealcaire marneux. Ces bancs ne sont point dans leur assiette originaire'.n4s paraissent

renversés. Il en déc61eipéfthéméntijùe grande quantité :de piSsasplutIte. e. PUY DE ÇROUEL. Elévatien absolue.

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436

Brèche àfragmens'volcaniques, mêlés depissasplialte ; calcédoine ; bois-fossile; peu de calcaire 'marneux 5 couches reny-er,, sées et ,presque verticaleS;,.Délévation du monticule'au-dessuS dii-"r'uiSSeau indiqué ci7 dessus -ri.. 5 , est de einètres.

9. CLERMONT. Sommet du monticule , au seuil de la MaiktnSaint-flOrent; . . 418 _Hôtel de ta Préfecture , premier étage et au niveau de la cuvette de" mon baromètre. s

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