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Journal des Mines (1809, volume 25)

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DESCRIPTION ET THiOltIR

fixée en a, sert à tracer les arcs quand cette

DES SOUFFLETS CYLINDRIQUES.

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pointe est sur la division correspondante marquée sur la règle. Le premier point de division i est porté avec cette règle sur le rayon me au point ; le se-

proportionnelles aux abscises. Si l'on suppose que l'axe de l'anneau se meuve uniformément, le mentonnet sur lequel la courbe presse, ainsi

le sixième en 6 sur le rayon lifT qui divise q)C en deux parties égales ; le septième au point 7

marquée llyxyzc, il est clair que la première question est parfaitement résolue de cette manière.

rayon Me. Après avoir déterminé entre les rayons me etMC les points de rencontre des rayons et des

Quant 'r`t la seconde partie, pour que les deux pistons agissent ensemble au com.mencement et

cond au point 2 sur le rayon My qui divise l'arc eB en deux parties égales ; le troisième en 3 sur le rayon MB; le quatrième en 4 sur le rayon 31 ci' qui divise B en deux parties égales ; le cinquième en 5 sur le rayon Mcp;

sur le rayon MC; et le huitième en 8 sur le

arcs de cercle des principales divisions, on peut les continuer en divisant de nouveau les arcs , yB,

etc. en parties égales, pour mener de

nouveaux rayons, ainsi que les distance-S-112 , 2 , 3 , pour mener des ares correspondans , afin d'obtenir de nouveau; points intermédiai-

res. Puis avec un crayon et ,d'une main sûre, on peut décrire l'arc i , 2"3 , 4 , 5,6,7.

Cette ligne courbe s'éloignant uniformément du centre, peut être considérée comme un coin que l'on a courbé sur l'arc de cercle 8 u 8 de-

puis le point 7 sur le rayon MC, jusqu'au point 1 sur le rayon Me. Comme la distance entre la circonférence de ce cercle et la nou-

velle courbe est proportionnelle à la longueur des arcs du cercle on peut la consi-

dérer comme formée par des ordonnées qui sont proportionnelles

que le piston qui lui correspond , auront un

mouvement uniforme pendant tout le terris qu'il sera pressé par la partie de la courbe contenue entre J. et 7 (1); et comme pendant tout ce tems il n'y a qu'un piston qui presse l'air, ainsi qu'on peut le voir par la position de la seconde came

(i) Comme il résulte des principes généraux de lernécanique , que le moment de la résistance d'une force invariable est en raison de la vitesse de son mouvemen4quelle (pie soit la nature du, inecanisMe.que l'on emploie, il est clair que comme par le mouvement des cames la charge est élevée à des hauteurs égaies dans des tems égaux., le moment de la résistance doit aussi être égal et invariable. Ce moment statique est, pour chaque point particulier de la, cirçonférence de la courbe le produit de- deux facteurs : eun-la distance el0 la charge au centre du mouvement, l'autre le sinus de l'inclinaison de la superficie oblique ou du coin comprimant à cette distance. Mais il est de la nature de cette courbe., que son inclinaison diminue dans le même rapport ciné g,nement de la charge, ou que la longueur du levier .5'accro4 de telle sorter,, que le produit de cette longueur par le sinus de l'inclinaison, conséquemment le n'ornent statiqUe-, est constant pour chaque point de la courbe (je me réserve de prouver 'théoriquement ce résultat dans une :autre occasion ). De là la résistance pendant le mouvementi"doirtoujours être la même , et celui-ci doit avoir la même uniformité que si le poids était tiré par une corde placée autour.d'un-

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