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Journal des Mines (1809, volume 25)

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ADDITION AU ItIdMOIRE

incidence des pans sur l'arragonite en prisme hexaèdre, que j'ai décrit au même endroit, et dont lafig. 2 représente la coupe transversale. J'ajoute maintenant que si l'on suppose un second décroissemeirt -eXprimé par e (j.. ) , la face produite fera un angle droit avec le prolongement de l'arête B (1). En concevant trois nouvelles faces parallèles à celles dont je viens

de parler, on a un prisme droit rhomboïdal P u z (fig. 4) dont les bases sont la face z et 5, son opposée (2) , et qui a pour signe P D e. Pu î Mais j'ai démontré que les lois connues de la structure s'opposaient au rapprochement que l'on pourrait être tenté de conclure de ce ré-

sultat; en sorte que la coïncidence des angles n'offrait ici qu'une analogie de rencontre. M. Bernhardi eristallo!,,,,raphe d'un mérite très-distingué , a publié récemment (3) des Recherches intéressantes, dont le but est aussi

de faire dériver la forme de l'arragonite de celle

(i) La possibilité de cet angle droit est un résultat général pour tous les rhomboïdes dans lesquels le cosinus du petit angle de chaque rhombe est une quantité rationnelle ; mais la mesure de la loi qui le donne , varie suivant le rapport des diagonales. Dans le cas présent, ce rapport est supposé être celui de à /77, (2.) Pour mettre Paspect de ce prisme en rapport avec celui de son noyau , fig. 1 , on a donné à son axe une position

inclinée parallèle à l'arête D'.

(3) Journal de Chimie , Physique et Minéralogie , tom. VIII, premier cahier, page 152, et suiv.

SUR ,12ARRAGONITE.

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de la chaux carbonatée, mais d'après une hypothèse différente de celle que je viens d'exposer.

Pour en donner une idée, soit agsd(fig. 3), la coupe principale du rhomboïde (fig. ) dans laquelle a g répond à l'arête B, et a d à la diagonale oblique qui va de A en e'. Si l'on suppose un décroissement exprimé par B (figi) ,

la face produite représentera l'une des faces du rhomboïde que je nomin.e é quiaxe , et il est évident qu'elle coïncidera avec l'arête ag(fiÉT. 3), et qu'en même-terris elle sera perpendiculaire au plan a g s cl. Or j'ai prouvé (i) que le rhom-

boïde équiaxe pouvait être produit aussi en. .vertu d'un décroissement par quatre rangées

sur l'angle supérieur A (fig. 1) du noyau,

d'oùil suit que la face de ce rhomboïde, qui serait produite par les lames décroissantes appli-

quées sur P", aurait la position indiquée par

a k (fig. 3) qui fait avec l'axe as un angle k a n égal à l'angle g a n que forme avec le

même axe l'arête a g- , qui détermine, comme je l'ai dit, la position d'une des faces du rhomboïde équiaxe ordinaire. Si l'on combine les deux faces dirigées suivant ag, a k, avec une

troisième qui résulterait du décroissement D (fig. i), et si l'on imagine trois autres faces opposées et parallèles aux précédentes , on

aura ,encore un prisme droit rhomboïdal gu gf fig. 5') dont le signe rapporté au rhomboïde (i) Traité de Minéralogie, tom. I , pag. 324 et 35.

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