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SUR LE milyiht.A.t.

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ArrELi

dans lesquels les quantités de magnésie étaient et j, les analyses des successivement, deux premières avaient pour auteur M. Klaproth, et celle de la troisième M. Laugier ;

mais maintenant que le blattriger augit, qui est un amphibole , analysé par le premier, a donné 12,5 de magnésie sur lao parties, on a

une divergence plus grande encore dans les résultats sortis d'une même main, savoir celle que représentent les quantités 0,2 ; 12,5 ; ce qui donne un nouvel appui aux considérations que j'ai exposées au même endroit. Je dois rappeler ici que dans toutes les discussions de ce genre, je n'ai pour but que de fixer l'attention sur des faits importans par leur influence relativement à la méthode minéralogi-

que , et de tirer de leur rapprochement, soit entre eux, soit avec ceux auxquels conduit la cristallographie, les inductions qui en découlent naturellement (1). J'ai espéré que ces sortes

de parallèles raisonnés solliciteraient de -nouvelles recherches ou de nouvelles vues, pour essayer de concilier, dans les cas d'exception, deux sciences, dont les résultats sont faits pour se servir mutuellement de-garantie , par leur accord. La correction qu'il deviendra désormais indispensable de faire dans les méthodes où le Minéral, qui est l'objet de Cet article, se trouve placé parmi les variétés du pyroxène , n'intéresse pas seulement la minéralogie proprement dite, elle a encore un avantage pour la géologie, (1) Tableau comparatif, etc. 31t iv.

Introduction pas. vii

ATIGIT LAMINAIRE.

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soit parce qu'elle rectifie les idées par rapport à la composition d'une roche qui mérite d'être recherchée , soit parce qu'elle restreint une

conséquence à laquelle M. Karsten avait été .conduit par son opinion sur la nature du minéral dont il s'agit, en citant celui-ci com.me

une nouvelle preuve ajoutée à celle que la.

Norvvège fournissait déjà de l'existence du pyroxène dans les montagnes primitives. Ce fait

est incontestable à l'égard de la Norvvèg-e ; mais, pour en avoir un second exemple, il faut le chercher dans le département du Pô, faisant partie de l'ancien Piémont, où le terrain des

vallées d'Alla et de Mussa, qui est évidemment d'ancienne formation , offre des cristaux trèsremarquables de. pyroxène ; savoir, ceux que M. Bonvoisin , auquel nous en devons la découverte, a nominés mussite et alalite , et que j'ai ramenés, par de nouvelles observations à leur véritable type, après les avoir considérés comme variétés d'une espèce particulière à laquelle j'avais donné le nom de diopside. Je ne dois pas omettre, en terminant cet ar-

ticle, que l'on a découvert, dans les mêmes

terrains, de nouveaux cristanx. de la substance

dont il s'agit , qui s'écartent totalement, par

leur aspect, de ceux qu'on y avait trouvés précédemment , tandis qu'ils offrent toutes les apparences de la variété d'épidote , que l'on a nommée akanticone et arendalite. Leurs cristaux sont aussi des prismes , dont la forme est épaisse ; leur couleur offre les mêmes teintes "de vert-olivâtre, et leur surface a le même éclat..

Toutes les qualités qui tiennent à ce qu'on appelle le facies , semblent ici se réunir pour eni C3