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fonnité d'attraction et l'homogénéité. Mais

dans beaucoup . d'autres substances , >dont les. parties ne possèdent pas cette force attractive

uniforme , puisqu'elles n'étaient pas en tière-

ment liquides dans leurs -differens dissolvans le centre de l'attraction de .chaque petit glubule sorti de la dissolution , ne peut pas être situé dans le centre géométrique lui-même d'où il résulte des altérations essentielles. Soit A une très-petite portion de la dissolution ( imparfaite ) , qui à cause de la diminution du dissolvant , sera bornée par un planbegranzt); .- coagulé (mit eirzer starren fiiiche partagera pas,. dans ce cas l'attraction ne se

également entre les molécules ou entrement:,

les différentes parties ont un degré différent de. fluidité : conséquemment une partie du plan

par exemple , en in (fg. 3 ) , aura un plus

haut degré de coagulation que le reste, à cause. de la diminution, du dissolvant , laquelle mani-

feste ses effets également sur tonte la lhee plane. Or , comme les parties qui ont une at-

traction égale une liquidité égale , se réunissent les moins fluides avec les moins fluides, les plus fluides avec les plus fluides (quatrième proposition) , cette partie in du plan sera à la surface du globule celle qui possède le plus grand degré de. coagulation , de même (lite la partie opposée 7Z sera celle à laquelle appartient le moindre degré de coagulation. Il est si clair' que cela doit nécessairement arriver ainsi , que je n'ai pas besoin de m'étendre davantage à ce

sujet. La troisième figure représentera cet état , si l'on suppose que les difkrens.degrés de fluidité à la surface du globule soient ex-

DE LA CRISTALLISATION.

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primés par la distance qu'ont les uns des autres les cercles tracés _perpendiculairement à l'axe in n. Or, Comme de o à n toutes les parties agissent les unes sur les autres par une attraction plus forte que d'ô à ni , en quoi elles suivent la raison inverse des distances des arcs de cercle qu'elles représentent ; si l'on conçoit comme réunies en o et comme agissant de là sur la forme, toutes les forces isolées des différentes parties consécutives qui se sollicitent iter médiatement les unes les autres , alors le point ô devra attirer aussi fortement la molécule en

ou celles en s et r, que celle en n; et con,

séquemment , malgré la répartition inégale des

attractions à l'intérieur de cette petite portion limitée de la. dissolution , il se produira encore ici une forme arrondie perinanente , comme cela avait lieu dans le cas où l'attraction était située au centre géométrique. Le rapport de la ligne o ni à la ligne n o, qui dans les globules de forazation homogènes ,( d e même fluidité ) , est celui de à i , prendra

différentesvaleurs dans des dissolutions différentes , et c'est des différentes valeurs de .ce rapport que dépend la diversité des angles .et des dimensions des molécules intégrantes. Les globules sortis de l'état de fluide ,cher-

cheront dés-lors à se réunir de tous côtés les

uns aux autres comme il a été expliqué ci-

dessus. Or, comme les parties d'une même espèce manifestent une plus- grande attraction. entre elles que sur les parties d'espèce différnte , les parties les plus solides des globides auront une tendance vers les plus solides , les. V 3-