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Journal des Mines (1810, volume 28)

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Ir,

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DU FEI, HXDRAle..

7.. Qu'il en est de même de l'alumine, la, -

'quelle ,ne:'s'.y trouve d'ailleurs que rarement en quantité notable. encore, pre.. Le tableau des analyses montre encore mièrement , que tbématite brune diffère

manière essentielle de l'hématite rouge par

l'eau de composition qu'elle contient : elle est en outre..anoins.-duref.:.:et :sa pesanteur spéci, figue est:plus 'faible 'd'ans le rapport de 3 à 4. Secondement, que .les minerais de fer noirs des' Allemands (schwartzeisenstein) sont principalement composés de,manganèse, et doivent être classés dans le genre relatifà ce derniermétal.

Les minerais de fer, à poussière jaune, sont donc les seuls qui soient: essentiellement coni, qui soient posés de fer et d'eau, Ils forment une espèce des hydrates de particulière bien 'distincte des autres, et dont

elle diffère d'ailleurs par des caractères physiques bien. tranchés. Les considératious,Inises du gisement tendent encore à isoler cette espèce , ainsi qu'à

réunir entre elles les diverses variétés qui la composent. Je m'arrête un instant sur cet objet.

Les minerais à 'poussière jaune se trouvent dans la nature. 10. En filons on en couches dans les terrains de formation primitive et intermédiaire. C'est le gisement Ordinaire -du minerai brun .compacte proprement dit : il forme la masse principale des filons : l'hématite , à l'instar des cristaux tapisse les parois des cavités que ces gîtes présentent : et l'ocre jaune s'y montre dans les parties où le - minerai, _par un TelC, chement de tissu , est passé. à tete terreux,

DU FER -,T-DY D 11.

E.

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'Ces trois variétés 'sont habituellement accompagnées de fer spathique et, de manganèse oxydé , mais presque jamais de minerais de fer à poussière rouge lesquels forment des 'filons particuliers dans les mêmes terrains

et sous ce rapport , la nature semble avoir

mis ici une ligne de démarcation. entre deux .espèces qui ont d'ailleurs quelques analogies,

et que l'on a fréquemment., confondues- Au

reste, la co-habitation du fer .spathique aveç les minerais bruns , qui avait fait,. présumer une identité de composition, ou in moins. une affinité entre leurs principes fournit une:. preuve du contraire ; et elle décèle , dans leurs molécules, une répugnance à se mélanger entre _elles. Les deux substances sont en,., -parties souvent très-petites les unes à côté des 'autres, quelquefois même enchâssées et comme empiltées les unes dans les autres mais cha.,cune a des limites bien tranchées. Les nombreuses analyses du fer spathique attestent en outre l'homogénéité de sa composition; et celles de l'hématite font voir :qu'il ne peut contenir que: de bien petites quantités d carbonate de fer. Ce n'est pas icile premier phénomène de ce oerire, le plomb sulfuré et..le 'zinc sulfuré se trouvent habitnellenient ensemble dans les mêmes gîtes , et ils ne ,sernélangent point : il en est souvent ainsi du ,:ferlcarbonaté,etdeja chaux .earbenatée , qui Ci:instituent les rentes filons.,.'d Les minerais bruns existent encore dans les;_terrains seco.ndaires , notamment dans .epuebes calcaires, qui sont imprégnées de leur ..sn,l3Stnce ;fla , y forment ordinairement des

.géodes ou Masses sphériques , quelquefois en