Journal des Mines (1812, volume 31)
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STRUCTURE
bords supérieurs , d'où il. suit que l'un étant égal à 2, le second. sera égal à 3. Cherchant donc, d'après cette donnée, les incidences mutuelles des faces t, , je trouve , ainsi que je m'y attendais , qu'elles sont exactement les mêmes que celles auxquelles conduisent les mesures du .gonyomètre. Les formes qui m'ont servi précédemment de termes de comparaison entre les résultats de
M. de Bouillon et ceux que j'ai cru pouvoir leur substituer appartenaient à des cristaux que j'avais observés par moi-même. Je vais
maintenant examiner une de celles qui me sont inconnues, et proposer les motifs qui me font présmner une correction à faire dans la détermination que le même savant en a donnée. Elle constitue sa 44e. modification ( tom. 2, p. 82), et se rapporte de même à un dodécaèdre (fg. dont les faces sont des triangles scalènes, et qui tourne ses arêtes les plus saillantes vers les rhombes du noyau. Le reculement qui fuit naîtreles
arêtes les plus saillantes dépend du rapport de 1.5 diagonales à 4 arêtes, entre da et at(Ji-. 3),
et celui qui fait naître les moins saillantes clé-
pend du rapport de 7 diagonales à 15 arêtes,
entre d h et h k. L'incidence de a sur a ( est, d'après rues calculs, de 113" 46 18" (le texte de M. de Bournon porte I121 44' ) , et celle de a sur a' est de r4o'! 45' 6" (M. de Bournon indique i4o' 42'). Le signe du décroissement in-
termédiaire relatif au véritable noyau serait (
z;
D77 B43). Le noyau hypothétique serait
un rhomboïde obtus dans lequel l'angle plan du sommet aurait pour mesure ii3d 35' :z4" 3 la
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DES CR ISTAUX.
loi qui ferait dépendre ce rhomboïde du véri-
table noyau aurait pour signe e , et celle qui produirait le dodécaèdre rapporté au noyau 122 75
hypothétique serait D. En considérant attentivement ces résultats si .éloignés de la simplicité des lois ordinaires, j'ai remarqué que le noyau hypothétique était trèsvoisin du rhomboïde équiaxe , dont l'angle plan 57", puisque la difféau sommet est de ne .
rence n'est que 43' 43". De plus, le signe D qui
indique la loi d'où dépend le dodécaèdre , en partant du noyau hypothétique , diffère trèspeu de D ou D. Ainsi, en substituant l'équiaxe au rhomboïde de ii3d 35'14", et le second signe au premier, on avait pour noyau hypothétique un rhomboïde familier à la cristallisation, qui dérive du véritable noyau par la plus simple de toutes les lois, et celle qui faisait dépendre le dodécaèdre de ce même noyau hypothétique n'offrait rien qui ne ait dans l'analogie des lois déjà connues. Ayant fait les deux substitutions
trouvé pour le que je viens d'indiquer , signe représentatif du décroissement intermédiaire ( E S'sD5 B3)', qui ne diffère de celui qui se rapporte à la 45e modification , que par l'ad-
dition d'une unité dans le numérateur de la
fraction qui accompagne la lettre E. J'ai trouvé pour l'incidence de a sur a I14d 43' To", c'està-dire 56' 52" de plus que dans le résultat rectifié de M. de Bournon , et pour l'incidence de a sur a' rZtod 35' 58", c'est-à-dire seulement