Journal des Mines (1812, volume 31)
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RECHERCHES
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mètres divisés par 57, ce quilrépond à peu près à 87 déchnetres. ..;;On peut exprimer d'une manière plus com-
mode la solution de ce problème, en disant
qu'une longueur de ioo mètres ajoutée 'à celle
de,la premiere 81-atiolle occasionne un change., ment de io minutes dans l'angle de 6o minutes ou.,d'un elegre:;,qui devient par-là un angle de 5citultte4.,11-14enaésulte que,la longueur de le première :dtàt_ort. :est. cinefkifsiubb inètres--)ouf 500 inèkreS_. T.e
o rnb r e ttinqz,;-:clui sert ici d'et
multiplicateue,Jprovient du: rappert de la lon.ueur de la seconde, stationlla première. `.t..-14},rsqu'ittmtniirat veut ,donner l'armée navale, fiu il ,ccommande un ordre-tel que le vaisseau de tête de son avant-gardene! soit qu'à un noiubre fixeeeneeklebres drdernier-; vesseau de son arriène3-garde'i, lien esbtoujour.ki le maître,
an moyen euemi,drOinètre, quiii;par: des pavil.; lonS de climensiere,s;donn éesip peut) régler sur touteune ligne de quelque étendueiqifellsoi les distances respectives des vaisseaux avec'cotter précision- qutà-10 p4is savantaS)évolutionsiexi-
gentret,'ÇoineaMent. ,à ce sujet entrerdaneides (le tg/
PIPA ierApiee;, mais il dst 'convenàbie gué,
mer_ài traiter avec)toute l'étendue: Icisçl.fa.blelfa, partie difficile de;la tue-.
jed,aisse
tique navale d'où, dépend ,1e, plus soirvent; le succès des aines çlLemér._
Pans ler.,eppiotty qui, a été fait :par. lÉsi;oire-r; Gand-le:mune , d.ye.s de sou excellence les Commissaire ont cru qu'il _était nécessaire, pour connaître la. distance , .d'avoir une; clim en, siorzqyelconque d'un vaisseau; mais le problème:
SITE LES MICROM*TRES.
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dont nous venons de donner la sofution; prouve qu'il suffit de s'approcher oiâ...de S'éloigner d'une longueur que le lock et: la; lidusol& dé-
terminent en décomposant en ligué directe,
par le quartier de réduction', la route quelqu'oblique qu'elle puisse être, en ayan tégard au teins.
L'on m'a demandé souvent ,la raisori-,pour laquelle le micromètre dont, lieus venOi s. de montrer l'usage n'était Pas :plus coniniük ne faut en attribuer la causelteà la diffiefilté) de sa construction; et cette diffiCulté 'Vîëitit disparaître par les soins dé le.')Malus,,-,q?uti indigné, d'une manière précise,./les donner à un inorCeau quelconque de lin, pour atteindre au maxime-Te de la double
réfraction; et pour cet effet.iil faitdistingtier la section principale -de toutes: l'es'àutres ;:c'ÉSt plan qui passe par les deux raycilig`réfrattk,'è'e qui est perpendiculaire à la -faCe.", d'in4.1debn';',
il est ,parallèle l'axe t'ibn de la secticteincipale,i,indique celle des pôles du rayon et la directiatt: des pôleS7'clW rayon étant conntie; oit en clé'd'iiierébiprdMent Celle de )4 SeCfi.O2ii PririCiPieé, .,.
"u- un.e face quelconque, naturelle Pour ou,,ar,,, , la section principale étant un plan: perpendiculaire: fade réfringente et peralMie à'l'axe de, réeüttiâil-, 'déteriniiihilf plan pour deux' face qUelceLdeies , tion de ces deux plans donnera nécessairement la direction de l'axe de la cristallisation et de la et nous avons déjà montré comréfraction' ment M. Malus parvient, par des expériences qu'il a su mettre à la portée de tous les artistes, à reconnaître dans tous les cas les secV2 ,