Journal des Mines (1812, volume 32)
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profondeur. " à une plus grande a suivi déssication de la tourbe, on Pour la de t ernent Manipulaepar I , employé dans ans e cdépartement ricin pour la le procédé disposées sur dessi ont été
la Somme ; les briques en en rentelets , puis les prés déserts, d'abord monts, ou en cantelets , ensuite en lanternes et enfin en piles. quatre manipulations 'qui Il paraît que ces ont été Perte de de la tourbe'd'intellidécident de la qualitéd'ordre et peu tersrb,eandiid,'s conduite S avec peu déchet d'un sixième lations. gence , et qu'il y a eu un extrait ; car dans la combustible au Moins dupiles qui sont restées long-tems.sur plupart des même celles place, une partie des tourbes, couensont point du centre , sont brisées et ne nées. fin de ce paragraphe M. Lefro-y a placé à la les principaux vices sur quelques considérations de la vallée d'Esdes tourbesde l'exploitation pensé qu'il ne serait pas sonne : nous avons de faire cette Notice, inutile, en terminant , qui pourront. connaître ces considérations de sentir comà portée mettre les extracteurs de la tourbe bien il importe que l'exploitation mode régulier, et dirigé soit assujettie à un par l'art. L'auteur d'après des principes avoués fait observer : d'étendue, les entailles ayant eu peu ordre , il 10. Que Résumé été disposées sans aucun plus difficile et (les minci- et ayant peux vices est devenu par-là beaucoup de cette ex.de faire de nouvelles fouilles ploitation. plus dispendieux vallée où l'on a déjà tourbé. dans la partie de la tourbe ayant jusqu'à
ti.n de la tourbe. ,
..)...°.
Que le banc de
DES VALLÉES D'ESSONNE ET DE TIIINE.
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5 Mètres d'épaisseur, tandis n'en a été faite qu'à sept pointesque l'extra:et-ion d'épaisseur (i), on a ainsi laissé enfouie une grande quantité de tourbe, et celle de la meilleure 3°. Qu'en a rejeté leS,d.éblaisqualité. des entailles, et que .de cette manièreatiqénd on 'a rendu plus difficile l'extraction de la tourbe inférieure. 4°. Qu'une grande dé la tourbe tirée de la terre a été perduepartie par la négligence-et la précipitation des ouvriers, soit dans le 'travail de l'entaille , soit dans les transports et les différens tassemens de ce combustible, par la mauvaise habitude que l'on a eue de couvrir les piles de tourbe lorsqu'elles ne pas l'hiver sur place, et par l'extraction passaient de ce combustible que l'on'ra prolongée jusque dans le mois de novembre., au lieu de la terminer dans le mois de septembre ; 'Ce quiaurait permis de faire sécher la tourbe avant la saison des pluies. 5°. Qu'enfin, en ne desséchant pas les terrains tourbes, ils sont nécessairement devenus marais infectes , perdus pour l'agriculture des ,à laquelle ils devaient être restitués, après l'extraction du combustible qu'ils recelaient. -
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(1) La mesure nommée pointe, citée dans ce 1Vidinoire, est ,deprès de 3o centimètres ( e pouces anciens ).
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