Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1813, volume 33)

'LES raocuis r-\ipLoidsrée , et des scories noires - ayant de la 'ressem-, blance avec celles des feurneaux.; et avec adde plomb, dition de 3e. de Fonte grau niée recouvert de matte et, des mé'mes scories 'noires. J'ai eu, une autre fois, d'un mélange de log" de de pyrite grillée , de 3,1' de fonte galène , de granulée, et de og",7 de poussière de charbon, 8g",e5 de plomb,

AUX MINES DE rLomn- DE vÉ'DRIN

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log' de galène mêlés avec le résultat du grillage de log'. de mine de 'fer ocreux et du charbon , De m'ont produit que de la galène régénérée et des scories noires ; tandis que, 'mêlant- à ces log" de galène le résultat du ()Tillage de log' de schlammes , 3 de scories de 'forges , et 3e de fonte granulée et , j'ai obtenu e.,6 de plomb , de haut la matte et des scories noires bien -vitrifiées. S. IV. ObservaonS sur la 1:oud

tics opérations.

Quoique le minerai fin donné par la pure mine soit, pour la plus grandie partie , composé de plomb blanc, et qu'on mette dans la fonte de l'ocre massif, et une forte propor-

tion de 'scIdammes qui contiennent b'eaueotip d'ocre ; cependant lé fer apporté par ces substances ne suffit pas pour la rédu.ction du plomb dans les fourreaux; il. faut encore, et surtout lorsqu'on n'a pas beancon.p 'd'ocre massif, employer des scories de forges de fer en quantité

d'alitant pins grande -que le soufre est

plus a bon clant.dan s le mélange ; c'est ce qui fait qu'il es si difficile de Prévoir d'avance Ja proportion de ce précipitant, et qu'il vaut mieux le

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régler d'après la manière d'aller du fourneau car, si l'on n'en a pas mis assez, la fonte s'épaise sit , et il se produit plus de matte. qui, étant

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moins' fusible que la 'combinaison des terres avec l'oxyde noir de fer, s'attache en partiesur la taque de' fond , et empêche la chaleur de s'y communiquer comme auparavant. La matte retenant plus de plomb que les scories ordi;mires , on voit encore qu'il ne peut être avantageux de fondre des minerais trop sulfureux ; et, en effet , il est démontré, par les derniers essais, qu'indépendamment de ce que la proportion de principe ferrifère à ajouter pour la réduction pourrait devenir exorbitante , la quantité de plomb que l'on obtient est toujours moindre. Une surabondance de mine ferreuse -ne convient pas non plus, parce que l'an brûle .du charbon inutilement , et que l'on donne. naissance à une plus forte dose de ces crasses demi.- ductiles , qui sont assez chargées dé

plomb. La fonte, d'ailleurs , devient tellement liquide qu'elle p f,reSe à travers les murs du_ four-

neau oit on ne., -élit plus la contenir, de telle sorte que, si cet accident arrive on est obligé de le corriger .par une addition Clé scories 'suiffireuses.

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Puisqu'il y a de la-perte à fondre des minerais trop chargés de soufre, il s'ensuit qu'il faut séparer ce principe le plus possible des minerais

1-yyriteux avant de les fondre. Le procédé de .gelaï.,,e employé remplit très-biençette condition; car nous avons vu qu'après .cette opération , la gangue ne contenait phis que 2 pour loa de soufre et d'acide sulfurique, et qu'elle Le scarifiait parfaitement. Elle devient, d'ail,

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