Journal des Mines (1813, volume 34)
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stît.krintricArtotÉ Que dans deSCouches dont là profondeur tréuve des comparative est considérable dans aucune des. fossiles qui rie se rencontrent »' couches supérieures.
Aux ENVTROXS DE LONDRES.
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Que certains fossiles qui abondent dans les couches les plus basses , se trouvent en quanles supérieutité successivement moindre dans tout-à-fait dans finissent par disparaître res , et lés plus récentes. -» danS » Que d'autres fossiles, très - communs une certaine couche, deviennent tout-à-coup adjacente de la très- rares dans la portion disparaissent ensuite. » couche superposée, et certain genre parti» Que des fossiles d'un les couentier , qui sont en grand nombre dans dans qu'on trouve encore ches inférieures, etcouches superposées, ne se quelques-,unes des
- tandis
voient plus dans les trois dernièresqu'Oh n'a que l'une des espèces dé ce genre, existe à l'état ftisee , point encore trouvée
dans nos mers. » » Enfin, que la plupart des coquillages qu'on
couches supétrouve en quantité dans les jamais dans les i:rnrieures, ne se rencontrent férien tes .
Ces faits principaux , bien établis , nous recedonnent lieu d'espérer que la géologie des fosessentiel de l'examen vra un secours auxquelles ils siles, joint à celui des couches
-appartiennent. » les Après avoir ainsi esquissé à grands traitsl'auconséquences générales de sa recherche, teur passe aux détails. évi» _Toute notre île , -dit-il, montre avec éprouvé des dérandence que sa stratification a
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gemens considérables, par l'effet de quelque force également mystérieuse et prodigieuse. Cette force a plus ou moins disloqué et déplacé
toutes les couches connues, jusqu'à la plus grande profondeur à laquelle on ait pénétré.
Dans quelques endroits ces couches ont été tellement soulevées, que quelques-rifles des plus basses sont arrivées à la surface ; tan lis que des
portion S- d'autres couches, jusqu'à une profondeur et dans une étendue considérable, ont été tout-à fait enlevées. Ces circonstances pro-
duisent beaucoup de difficultés et de confusion .dans l'examen des couches supérieures ; cependant la contrée qui environne la métropole , et sur laquelle elle-même repose, est celle de toutes
qui a été lcmoinsdéranée, et dans laquelle,
.par conséquent, les couches peuvent être étudiées avec le moindre risque d'équivoque..)) On voit rarement dans les régions voisines de Londres ces véritables fossiles d'alluvion , si communs ailleurs , et qui ont été détachés par les eaux des bancs primitivement supérieurs, ou soulevés.
L'auteur considère la couche de sable de
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et de o-la se 'sableuse tantôt mélangés gravier,i intimement, tantôt interposés, qui compose
la partie supérieure ou la plus récente du sol, - comme étant, non un terrain d'alluvion, mais le dépôt tranquille d'un océan pré-existant. Les sables de cette formation varient en cou_
leur depuis le banc, qui est le plus rare jus, tu', u.
rouge orangé, Les particules de ces sables observées à la longue, présentent deux apparences di,fférentes , selon qu'ils appartiennent .à
des coushes distinctes, ou qu'ils sont mêlés
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