Journal des Mines (1813, volume 34)
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93ES ENVIRONS DE DUBLIN.
sun LA MINÉRALOGIE D'UNE PARTIE
la prede cette vaae surtéleSudcômontagne,
férentes nuances de couleur, depuis le rouge
mare pierre que l'on observe dans sa place est
de brique jusqu'au gris cendré, et sont croisées par des veines de quarz et de Chlorite. »
reSpond avec celle du calcaire. Il existe au-dessus un grès ou quarz arénacé, (qui semble aussi former les rochers escarpés des domaines .de Lord Howth, surie côté Nord-Ouest de la montagne,)
sèdent les couches que D011S avons' décrites, sont cause qu'elles présentent un très-singulier aperçu , les parties les plus molles étant détruites à une grande profondeur par l'action de tandis l'atmosphère et les coups de vagues' que les plus dures sont préservées, et forment une espèce de raie en relief. A la base des rochers il y a une prolongation de bancs les
-
le calcaire secondaire en couches. Plus liant, et immédiatement au - dessus de ce calcaire, on trouve la sidérocalcite (pierre à chaux magnésier ne?) en grandes quantités : sa situation cor-
qui n'est pas visiblement lié aux précédentes roches, et qui présente en quelques endroits quelque apparence de stratification irrégulière, cette pierre est reconverted'argilite , qui con-
tinue jusqu'à Martello-Tower, , et le grès reparaît encore de cet endroit jusqu'au boulin audessous de la maison de M. Hannington. c( Les rochers , en cet endroit, consistent-
ils en couches d'une espèce de schiste argileux entremêlé de lits de la même espèce de grès que .celui dont la plus grande partie de la montagne est composée ? Quelques-unes de ces couches
d'argile sont pénétrées par mie matière silicense , qui _lm donne une plus grande dureté
qu'aux autres ; l'assemblage de ces bancs produit un spectacle agréable , qui est occasionné par les couches, dont l'épaisseur varie depuis un pouce jusqu'à un pied. Ces couches sont à peu près verticales ; dans un endroit elles diver-
gent par le haut sous la forme d'un y, l'ouverture se trouvant remplie par des couches inclinées ainsi î///- : les couches sont de dif-
Les différens degrés de dureté que pos-
plus Ars , qui s'avancent dans la mer ; et, à
l'Est de cet endroit, la montagne, sur le rivage, consiste en une espèce de schiste mou , qui est absolument creusé de manière à former une cavité (1). »
On a trouvé en grande quantité, au côté () Je n'ai jamais eu l'occasion d'examiner moi-même les roches de Hom/th ; mais les échantillons et les informati.iins que j'ai été à même de prendre , confirment les observations de M. Stephens. La pierre qu'il a nommée sielérocalcite , semble, d'après cet échantillon , ressembler à la pierre à chaux magnésienne des couches près de Miltovvn , qui, alternant avec le calcaire gris-bleu abondant en pétrifi-
cations , paraît former la base de l'extrémité occidentale de la montagne, et s'étendre à l'Est le long de la rive nord, au-delà de la ville ; l'autre espèce de pierre à chaux forme aussi l'isthme à l'Ouest. La roche de quarz dont nous avons parlé est semblable à celle qui forme les sommets de Brayhead,
mais dans un autre endroit je n'ai pu y apercevoir aucune marque de stratification: la masse dé la montagne de flowth parait être composée d'une espèce de vvacke grise, alternant avec le schiste wacke. gris , d'une couleur verdâtre et grisjaunâtre , et qui ressemble beaucoup à une roche de cette nature qui est à Brageacl. Si cette substance dont nous parlons est exactement de la même nature que Celle à laquelle
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