Journal des Mines (1814, volume 35)
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FORMATION DIS CALCAIRE MARIN.
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ateliers souterrains de l'inspection , plusieurs collections complètes classées dans le Même ordre que je viens de présenter, et que MM. Gam-
ier (Lapierre ) conservateur des catacombes, Gambier, Guérinet , Toudouze , et l'Huillier, chefs d'atelier, n'ont rien épargné pour rendre
ces collections dignes de l'intérêt et de la curiosité des amateurs qui y trouveront : 10. chaque série d'échantillons dénommés_ minéralogiquement ; 2P. une échelle métrique de l'épaisseur des bancs et des masses ; 3.. tous les fossiles végétaux ou animaux de chaque banc à côté de leur échantillon 5 et 40. enfin , les accidens divers que les unes et les autres peuvent présenter. Ayant voulu donner des considérations générales sur -le gisement des végétaux fossiles des environs de Paris, il eut peut-être été convenable de rapporter également ici quelques exemples des bois aï.,,atisés des terrains postérieurs au calcaire marin et 'au gypse, mais je n'ai pu jusqu'à ce jour réunir des données assez précises sur le gisement des divers échantillons qui m'ont été présentés, et j'ai cru devoir suspendre toutes considérations à leur sujet, jusqu'au moment où je pourrai en vérifier les localités par moi-même.
CARACTÈRES DES GRAUWACKES,
Et des fbrnzations de Grazevvackes, d'après
des observations Jutes au Hartz , par
FRÉDLRIC Mons. Traduit de l'allemand
,
et extrait des Ephémérides du
Baron ID a MOLL , année 1807, première livraison, troisième Volume; Par M. P. LaALURE , Ingénieur au Corps royal des Mines.
AVANT-PROPOS. LES terrains de transition paraissent être généralement admis en Allemagne; fa grauvvacke y occupe un des premiers rangs, non qu'elle en. forme la masse principale, mais parce que les autres terrains de transition ayant leurs analogues dans les formations primitives ou secondaires ,
il est souvent difficile de les en distinguer; la grauvvacke , facile à reconnaître ordinairement, appartenait au contraire ex-. clusivement aux terrains de transition, et sert ainsi à faire apprécier l'ancienneté relative des terrains où elle se trouve. Composée de débris primitifs , le plus souvent perceptibles à l'oeil roulés ou anguleux , liés par un ciment peu abondant, elle n'a peint alors d'analogue parmi les roches de première formation , et annonce que, là où elle se laisse apercevoir, le terrain. N
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