Journal des Mines (1814, volume 36)
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SUR LA. CONSTITUTION CrOLOGIQUE
éprou- vers ces sortes d'endroits les couches direction (1) vent des contourne mens dans leur et des changemens dans la nature de leur combustible. 30 Quelques veinules d'argile, qui existent Veinules très-communément au milieu de certaines cond'argile dans certaisouvent fort ches de houille, qui s'étendent nes con_ suivant leur épaisches. loin et qui les partagent,
DU BASSIN HOUILLIER
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parties, ce qui. deseur, en trois ou quatrel'exploitation , en ce
'Nids de
terre glaise.
Brouillage.
vient très-fâcheux pour qu'on ne peut faire le triage avec facilité. ou nids 40. Une multitude de petits noeuds dans pluqu'on trouve aussi de terre glaise mais, qui n.'affeetent aucun arsieurs couches, prolongent régulier, et qui ne se rangement pas fort au loin. c'est-à5°. Enfin un véritable brouillage, combustible dire, que dans le lieu oùïl existe le remplacé par une masse se trouve subitement molle, d'une couleur bleuâde terre argileuse, cette matière tre. Il arrive aussi qu'à travers fois des fragmens de terreuse, on rencontre par houille un peu altérée, et absolument semblable (i) Dans le pays' de Liée les mineurs prétendent que les crains s'aperçoivent presque toujours à la surface de la terre, correset ils entendent en ce sens que souvent, à la partie petit enfonsurface de la terre, il existe un pondante sur la ainsi qu'on le remarque à la Chartreuse, cement ou vallon,
à l'endroit ati passe la route de Liège à Aix-la-Chapelle. s'observe Cette particularité qui ne peut servir de.règle , d'Eschweiler
niais, au lieu de correspondre aussi aux mines sur les crains, elle n'existe véritablement qu'aux endroits je sous lesquels passent les failles ou filons stériles que vais faire connaître dans un instant.
D'ESCHWEILER.
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à celle qui est assez ordinairement éparsedans les l'ailles. La seconde classe d'accident comprend les failles, qui sont en général de longues fentes remplies par des matières de et larges Elles coupent le massif houillier surtransport. tonte sa largeur, et ne paraissent s'arrêter qu'aux bancs de grès à gros grains qui reposent surie ponddingue quartzeux qui appartient aux deux bordures extérieures du bassin. Toutes ces failles portent les caractères des véritables 'filons dans la stricte signification du mot, et il faut bien se garder de fondre avec ce que les mineurs liégeoisles conappellent ordinairement crains, sur-tout celles dont le vide est quelquefois occupé par des niasses pierreuses d'un volume considérable , comme cela se remarque dans plusieurs mines des environs de Liége. Ces fentes se sont Lutes, à peu de chose près, dans un sens perpendiculaire à la direction commune des plans respectifs de tous les bancs houilliers. Les changemenS qu'elles paraissent éprouver dans. leur marche ne sont point brusques , et l'on peut dire que leur direction moyenne se confond presque avec la méridienne, dont elle ne s'écarte que de quelques degrés du côté du Nord- Est. L'inclinaison par rapport au plan horizontal varie également fort peu ; elle Se réduit à un angle de 5 à 6 degrés de part ou d'autre de la verticale ainsi on peut la considérer comme nulle. Le nombre de ces l'ailles n'est pas encore bien connu. On en compte aujourd'hui quatorze seulement parmi les plus remarquables;
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Accident de la seconde chissc.