Journal des Mines (1815, volume 38)
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SUR UNE LOI
Mais en supposant même que cet angle
stationnaire au point initial de sa course
comme cela a lieu dans certains individus , suivant M. Hausmann , les propriétés de la lumière
.nous disent que la diallage aurait encore une arandeedistalice à franchir, pour arriver à l'amphibole. Les deux joints dont ii s'agit tranchent fortement l'un à côté de l'autre par leur aspect. L'un d'eux a dés reflets nacrés très sensibles
dans la diallage verte , et offre dans la diyallage métalloïde le genre .d'éclat qu'indique ce nom, '41
tandis que l'autre joint est beaucoup moins apparent , et n'a qu'un léger degré de luisant. Or, ce contraste entre les deux joints ne laisse aucun lieu de douter que les faces qui leur cor-
respondent sur la molécule intégrante de la
diallage ne diffèrent par leur étendue, et même
qu'il n'y ait de la diversité dans l'assortiment et dans les positions des molécules élémentaires tournées vers ces joints. Il en résulte que
la force de la réflexion subit à son tour une grande variation , ce qui en détermine une dans la force de la réfraction, que l'on sait avoir une grande analogie avec la réflekion (1) 5 et ainsi changeinent se manifeste, ne peuvent plus s'allier avec les devient indispensable de les \placer dans une preiners. espèce diff'rentn , si Pori prend ce mot dans sa véritable acception , celle Ini , étant suggrée,par la justesse des idées et par la philosophie de la science n'applique le mot dont il s'agit qu'a une réunion de corps déterminée par lé concours de deux types,- l'un géométrique, qui réside dans la forme constante des Molécules intégrantes, l'attire chimique , qui dépend ds principes fixes dont elles sont les assemblages. ) Newton optice lacis, Lausannae et Genevae 1740, p. 187 et 220.
1.65
DE LA CTITSTALLIgATION;
propriéle contraste dont j'ai parlé tient à des intime des à la nature tés qui sont inhérentes mécorps. Le passage de l'éclat nacré à l'éclatmême talloïde, qui a lien quelquefois dans une que lame de diallmie (1) , ne fait autre chose laissant de cet éclat , en modifier lès qualités, près subsister le contraste ; de même à peu les cirqu'un son change de timbre , suivantintervalle constances. , en conservant le même relativement à un autre son , avec lequel il fait une dissonance. Au contraire dans Vainphiêtre bele , les joints parallèles à l'axe peuvent ainsi dire à su bstitues l'un à l'autre , pourcôtés la même , qui voit des deux l'insu ie de la vivacité de poli et d'éclat. C'est l'unisson la théo-
lumière réfléchie. Aussi les résuliats de que rie appliquée aux lois de décroissement prisme de du subissent les bords et les angles l'identité des faces démontuent- ils la molecu le qui, sur -la forme primitive et sur joints dont j'ai intégrante, sont dans le sens des réunissent se parlé. Les propriétés physiques géométrie des tirés de la donc aux caractères invincible cristaux , pour opposer un, obstacle l'amphiavec au rapprochetnentde la diallageterminant cette bole. Je ne dois pas omettre, en prédifférence d'aspect que discussion, que la été remarquée sentent les joints de la diallage a parcourir par M. Hansmann ; mais il suffit de pour le Manuel de ce célèbre minéralogiste, juger que lés considérations qui se déduisentà de la loi de symétrie ont entièrement échappé son attention.. (1) Tableau comparatif,
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