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AU MOYEN DE L'AIR COMPRIMÉ.

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TRANSMISSION ET IMSTIUBUTION DES FORCES MOTRICES

généraux relatifs aux emplacements occupés et à la dépense en ce qui concerne les compresseurs eux-mêmes, il y avait un motif spécial pour que la réalisation d'une grande vitesse fût désirable : c'est que les moteurs hydrauliques étant actionnés, comme on vient de le voir, par de trèsfortes chutes, étaient destinés à marcher eux-mêmes très.

rapidement, et qu'il y avait tout intérêt à éviter une ré. cluction de vitesse puisque les engrenages qu'elle eût nécessités auraient absorbé du travail en pure perte. Ces engrenages auraient été à, leur tour une cause de dépense et d'encombrement.

Les types dont la description sommaire vient

d'être

donnée sont à recommander pour une transmission affectée

à des usages industriels généraux, quand même la presion requise pourra être, comme on le verra, très-inférieure

à celle de 8 atmosphères absolues qui est produite au

b) Travail de refoulement, représenté par aire GBCF =aire EGFD, et ayant pour valeur aire EBCD

(PlP0)11 1=Poiro

2 (i 12* PI)

(5)

La détermination du rendement d'un compresseur nécessite les deux évaluations suivantes La première a pour objet de connaître le volume par seconde II, et la pression p, de l'air comprimé qu'il peut fournir. L'air produit sera conduit dans un réservoir un peu vaste et on l'en fera écouler par un orifice dont le coefficient de dépense sera préalablement connu. En faisant varier la vitesse de marche on arrivera par tâtonnement à un état d'équilibre dans lequel le réservoir recevra exactement autant d'air qu'il en cédera et qui sera caractérisé par l'état stationnaire du manomètre. La lecture du mano-

mètre donnera pr La connaissance de p de po, de l'aire

Saint-Gothard. 5. Le travail théoriquement requis par un compresseur fonctionnant à température constante est, comme on le sait,

de l'orifice et du coefficient permettra de calculer U,. Généralement le rendement se rapporte à un certain chiffre de pression que l'on a en vue ; il faut alors s'arranger, en

par coup de piston : 14)7,11', po étant la pression atino-

faisant varier à la fois la vitesse et l'aire de l'orifice, de

Po

manière à ce que le manomètre indique une pression aussi rapprochée que possible de ce chiffre. La seconde évaluation est celle de la quantité de travail net qui est appliquée à l'arbre commandant le compresseur

sphérique, p, la pression à obtenir, Vo le volume décrit par le piston. Ce travail, qui est représenté par le diagramme fig.

2, Pl. VI (dans lequel

Ô= po, ii =p1 OD

V,), se décompose en deux parties dont la distinction peut être utile a) Travail de compression, représenté par aire ED

aire OABE

aire OAGE, et ayant pour valeur

quand cet arbre marche avec une vitesse identiquement égale à celle de l'expérience précédente. Le rendement est le quotient obtenu en divisant la quan-

titép,U. /p.11. par le résultat de la seconde évaluation. Il est

PoVol.ti Po

Po(VoV,), à remarquer que dans le calcul de la quantité p,U 1

V, étant le volume du gaz réduit à, p ou bien P poVoo

plAi)11.

po

on ne peut admettre pour p, la lecture du manomètre que si le réservoir accuse une température identique à celle to (4)