Annales des Mines (1877, série 7, volume 11)
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CONDENSATION DE LA VAPEUR
5o 2
Il vient :
On sait que
A L'INTÉRIEUR DES CYLINDRES DES MACHINES.
Mdxr+ AMxudP
R')cdt
(M
AXIL
xr
dP
lons bien qu'elle soit étrangère au sujet spécial qui nous occupe : que, entre deux limites de température déterminées, l'augmentation du travail moteur disponible, résultant de l'augmentation de la proportion initiale de vapeur dans un poids donné d'un mélange d'eau et de vapeur, est proportionnelle : 1" à la différence des proportions initiales de vapeur; 20 à la chute de température entre le commencement
T
on a donc, en intégrant entre les limites to et t1, Xoro
fo cdt
R')5 -7- ---- m
To
L'équation (7) devient de même (X',r, rio cdt
n
(M
(9
)
el la fin de la détente. Xr0 To
T,
Si la détente était poussée jusqu'à ce que la presfinale devînt égale à la contre-pression, on aurait
Retranchant membre à membre, on a: 1 (X
X 0)
ro
M(Xf
En vertu de la relation Mx -r
Q
x1) ri--; AV
et comme 41
dP dt
cette équation
A(Wi VI) 7,
A(G,
111(q1q0)
To
M(Xxo)r, = A>< surf. A.13',B",A"
.
(i i)
Si l'on pousse la détente jusqu'à ce que la pression finale soit égale à la contre-pression, la surface comprise entre les deux courbes adiabatiques ABilB', et A"B",B", , représentées par les équations (9) et (Io), devient AW2l3112A"; elle repré-
sente la différence entre le travail moteur disponible
du
X) d'eau et .MX de vapeur et le travail dismélange M(1. xo) d'eau et Mxo de vapeur. ponible du mélange M(1
L'équation (ii), mise sous la forme -À- 111(X
T0P0
G,)
à1(qi g, + xip, x2p2).
D'ailleurs, en vertu de l'équation (5),
ou en intégrant entre les limites To et T,:
surf. AW,13"1A"
M(9'0 qi
la perte à l'échappement Q',
dP
To
xopo
(q,
Q',_-,-_ A ro,
1
peut s'écrire : M(X
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conduit à cette conséquence intéressante, que nous signa-
xo)
(T, T1)
A(G', G' 1)
,p
x',p,),
on a une troisième expression de la perte à l'échappement,
G'i)Afse.,e1)+[(x2 X' OP 2 (X 1 x' 1)
1.1 31,
résultats déjà indiqués au S 4.
Les équations (2) et (8) permettent de déterminer Qi et Q. quand on connaît les quantités M, X, R, go, xo, ro, po, x, et pi. Les sept dernières quantités se déduisent des dimensions de la machine et de l'examen du diagramme, qui donnent la valeur de Po, de P de Vo et de V,. La quantité R, qui est très-petite dans un cylindre convenablement garni de matières peu conductrices, se calcule TOME XI, 1877.
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