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CONDENSATION DE LA VAPEUR

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A L'INTÉRIEUR DES CYLINDRES DES MACHINES.

La chaleur correspondant à la condensation intérieure est : MoXro

paragraphe 17. Dans l'équation (24) remplaçons Q", par sa valeur tirée

(vo v)r uo

(m+

vo

Or

Y

de l'équation (21), ro po par APouo et (M

xouo.

u9i

nous aurons

La chaleur C correspondant à la condensation est donc: MXro

v'

v

u2

P1').

uo

On a donc:

II.1(Xxo)ro = (q0 g',H- xoro) Qi

140

P12

311-

uo

(27)

V

plaçant encore (n

-\---)xo

MM, + M(1-- X)yo+

u, (q2-42)+AG'2=--AP0(V0vH-

u,

par

uo

'

(as)

Or Mr,0 + M(1 X)q, c'est la chaleur totale apportée de la chaudière par le mélange formé du poids MX de vapeur et X) d'eau ; AP0(V0 y) + AG, c'est le traXoPo XtPi).

(25)

V, par l'équation Q',

V

(24)

()."1+11.

(go --q,

(go--4 PO APov +""2

V'

Q, par l'équation v'

)xo par

+A,+ (31+ --") (q1+x,P1)+Vi-i-R.

Q," est donné par l'équation (2 1) .

/

u,

ou en éliminant Q, entre les équations (25) et (27) et rem-

)+

ZG 2

V'

41-1-Q'1 -1-R.

u2

sement intérieur (*).

(Po_

u,

(23)

Cette quantité de chaleur augmentée de celle qui a été reçue par les parois pendant la compression est égale à la chaleur restituée au mélange de vapeur et d'eau pendant la détente, plus la perte à l'échappement, plus le refroidis-

Qi= AG»,

vr uo

2(g0-1-xoroq1,)

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dans laquelle on calculera G, et x, comme il a été dit au

Gi) (31+ 17-1(q,-9=-Fx,P,

(26)

(*) Le problème de la détermination de la perte de chaleur pen-

dant l'admission par suite de l'espace nuisible, a été traité par M. Zeuner, dans son livre classique de la Théorie mécanique de la chaleur. Mais l'éminent auteur n'ayant pas tenu compte de la condensation intérieure et de l'influence des parois, est arrivé à cette conclusion bien éloignée de la vérité qu'en général il y a évaporation d'eau pendant l'admission el condensation pendant la détente. C'est le contraire qui a lieu.

vail moteur total obtenu. L'équation exprime donc que la quantité totale de chaleur fournie par la chaudière au mélange de vapeur et d'eau envoyé au cylindre, plus la chaleur interne de la vapeur qui se trouvait devant le piston au moment du commencement de la compression, plus la chaleur produite par le travail de la compression, est égale à la chaleur dépensée en travail moteur, plus la chaleur

interne que possède le mélange de vapeur et d'eau au moment où

s'ouvre l'échappement, plus les diverses

pertes.

Elle montre en outre que le travail résistant G," n'est pas perdu, puisque toute la chaleur nécessaire pour le

Produire est restituée ensuite soit en travail moteur, soit en chaleur interne. TOME XI, 1877.

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