Annales des Mines (1880, série 7, volume 17)
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TRAVAUX EXÉCUTÉS A BOUREONNE-LES-BAINS.
de la caisse, une grosse pierre les arrêta. Le trépan perdi,tuo une' journée à déplacer . cet obstacle .datigtle'sableirravailtioo de le briser. Cet accident se reproduigit très fréquemmentsi dans toute la -première partie tlu,sondage et Ji-loué cotifjp ,etfin% somma beaucoup de temps. La cuiller commença par ne ramener que des sabIes quartzeux comme ceux qu'on avait trouvés au-dessous ,ylge
MAPT-811-DIFISONDAGES.
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onsPittârriv-er jusqu'à '45m,45, après avoir entamé le grès ;_,; 5,T 'd'épaisseur. Le travail des bât tee, fétS-11, solidesur rendu' extrêMement difficilesurcette rônie par leslesions-,r-,, que subissaient la tige de...Sonde et le trépan. On pouvait d'ailleurs regarder le but comme atteint,:e ,nous étions au
blet;
monnaies rôniaines, mélangés:à, de, petits efragments udeffa
tubes employés sont en cuivre : ils ont chacuti4mètres de longueur, 19 de diamètre intérieur
gréé (*) . &la prôfondetir ideeinètres, r onferutrêpiràsôetirclu sable, lartiiiller ayant rapporté un peu ciel:laine rougeâtreptil
et om-,do5ï.eépaisseur. Leurs extÉérkiités sont filetées:à f millimètreode. profondeur par un É,paslode,vis qui s'étend sura'p,
mais Maine 'dura pas, elle sables continuèrent à formera
et parfois f dé'5 Ù o centimètres "seulement.
omye'dê Jongueur. Une virole de même métal et de même épaisseuryant o.°.!,20 de longueur, est placée extérieurér,, ment pout{,réunir cés tubes deux-,à deux. Le premier tube seul n'est pas fileté, à sa partie inférieure. Avec ce système,le tubage est '-d'itne-grande siinplicité
fond' du rinir, mous so m mes -parvennsfy cependant kegnem d
il suffit deunaintenir au-dessus du sol, par un collier, le bout supérieur de run des tubes, muni da sa virole,. puis
la preque totalité des débizis-2,r.A, cause de la présence dee, quelques pierres roulanteszet fdeela natureirébouleuse dom
terrain, on n'avançait que de' o;o par
fontrenfmoyenneir,F
lattanéde dans1esfsab1elauli grandes quantitée de glaise auïtrépan métré yar jour dans Papprofondissement.dliais dEfallut9b continuer à enfoncerr des tubes de retenue jusqu'à la'pro'-al fondeur de 3o»,50, ok les marnes rougeâtres se niontrèrentol Pri Eif14 1110 nettement. Aussitôt sortis des terrains ébouleux, nous continuâttiesoa le forage au diamètre de oN,225. Les premiers bancs pier-àq reux furent rencontrés à 4o mètres de profondeur. Ils sei composaient d'assises de grès de 0,05 d'épaisseur que le trépan brisait assez facilement, mais que la cuiller avaitpeine à enlever sans qu'ils fussent réduits à l'état de sable. Puis, vers 4 1-,5o, le forage rencontra de nouveatik bancs sableux et ébouleux. 'Il fut difficile de les percer, même en employant beaucoup de glaise, à cause de la rapidité.dwr. délayage «de celle-ci par les eaux ascendantes. Cependant (*) L'un de ces fragments présentait une pseudomorphose de cristaux de sel marin en grès bigarré, phénomène assez fréquent dans les couches de cette formation (M. Daubrée).
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da préseiiterià la suite le second et de le faire: tourner dans la virole. sEes joints ainsi obtenus sont très,gflicles : ils ne
font à' l'extérieur qu'une saillie de 5 millimètres qui ne gène pas le glissement. Enfin ils sont presque étanches,, car:ils suintent à peine sous une pression de 2 mètres. L'oentière n'a demandé que quelques IPméurarteis.911,du,..tubage..tout
_La lanterne n'a été faite que des deux premiers tubes, soit 8 mètres de longueur, bien suffisante, puisque nous n'étions sortis des marnes imperméables qu'à 5rn,45 avant la fin du forage. Nous voulions d'ailleurs éviter tout mélange possible avec des eaux provenant, par infiltration, des étages. supérieurs. Les 8 mètres de lanterne présentent 480 trous.de om,o25 de diamètre, régulièrement espacés leur surface totale est de 0-1,24 ou près de dix fois celle de la section intérieuredes tubes. Au-dessus de la lanterne, une collerette en tôle flexible et découpée en artichaut, ayant un diamètre total de orn,8o,