Annales des Mines (1880, série 7, volume 17)
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emeren.
BULLETINf,
âition des chaudrons Par- rapport atrIOYet': Deux chauffeeaet
575 ihslégoutte pendant 24 heures, et on le met dans les cases, où. il
deux sauniers, travaillant par postes de 12 heures, deux...par, deux,
resta deux semain es.
conduisent une batterie qui peut produire 75 barils (9.§0geag,) pag ,24,-)heures.). aioci tob mut .,vases ,plats,,aee tôle de 6 Milli,tpètre_%p uqe, prefoqdeqr,,de om,25 à o",50, une,largeur.de 3m;0/e0 et ung.longueu1i4eue 12 mètres. Trois_ ide ces vises nt généralement placés :1444 boutiles -bords Siet droits,og inclinés; cette dernière çl,ispositjoe permet d'enleverele sel au râteau, tandis qu'il.fqutiemployerlt pelle: avec la première. Ces vases reposent .pur trolsmurspare lèledortnantdeux carneaux. De,s voûtes en briques,prutègentleffi parties, les plus exposées au feu; .comme lorsqn'on, fat E usage .4e
chaudrons. L'ébullition est très rapide dans ces vases, et it.faut beaucoup, de soin de la part des ouvriers pour empêcher lejselAle s'attacher au.fond,,, il faut l'enlever à mesuraczKgiseifomeelj4 l'étend- sur un plancher à claire-voie avant de jp,P;114.WELdast4e cases,1 où s'achève l'égouttage. xuf.)'s A Cette installation a été perfectionnée dans un,iétabessement de Port-Austin (MM. Ayres et G'). On a construit 7 murs parallèleq,
formant 6 carneaux : les gaz chauds parcourent trois fois la loqgueur des vases, en passant d'abord par les deux carneaux:da milieu. La chaleur est mieux utilisée et le sel se trouve rejetérsur les bords dans,une région relativement froide, où il ne risque'qg de s'attacher'Ces vases ayant une surface de 135 mètres,_çarre la production était, par 24 heures, de itio barils (17.00-4?-0114foi: , avec une consommation de 117 stères de bois iiar":celproc: é Évaporation par l'action rie la vapeur. que se fabrique la majeure partie du Ser'dans l'état:4e Igic>iiga On chauffe l'eau salée, juSqu'au point où elle ceingenVerde déposer des cristaux, dans un grand, réservoir en bOiS(iengueur In mètres; largeur 2rn,75 ; profondetir im,80,,à l'usine de la Buffalo
Salt CO3 East Sagina*), au ' aie-yen de deltnyaux, de omoo de diamètre, parcourus paria vapeur, qui le traversent dans le sens de la longueur et près du fond. L'eau salée se dépouilldaldrà-da's dernières parties d'oxyde de fer ; on la fait écouler dans d'autres réservoirs de même longueur, mais moins larges (2',25),ét moins profonds (0,40), également traversés par des tuyaux ef,14 reçoivent la vapeur. Les cristaux de sel se forment à la surface, puis tombent au fond; on agite de temps en temps le liquide dia qu'ils soient petits. L'évaporation dure ainsi 24 heures, à la température de 77 à 800 centigrades. On enlève alors le sel en le lavant dans l'eau-mère, on l'étend sur un plancher à claire-voie,e
,,aporation par l'action du soleil.
Cette opération se fait
dans des auges en bois de 4.00,90 sur 5',50, profondes de om,15 à élevéede o0,60 ott,is4,9eiliati dessus du sol, qu'on peut re,éduvrir au rifoyen de toits mobiles. Le fer se .dépoSe-daneune Première série-; d'auges plus élevées que les autres, "sous l'action
prolongée deeeiP; sans; addition de chaux. es que les cristaux dalselulapparaisîent, on fait écouler laliquide dansula, seconde sérieeang,eSil'A 'Syracuse, où les eaux salées contiennent bealf+ coup de sulfaté,elchauXon faieusage d'auges intermédiaireeoi% se déposaCe corpS'.e:Oti Cherche àlebteniiii` dans cette fabricatied?,
lerSel en geis-cristauki`Il faut,"pcinf,céle, aVoirideauges blefülftiOerifr toujours recouvert de liquide lé sel déposé, et n'ajouteléliquide q'ne bien concentré. bn fait, d'ailleurs, écouler de temps3én temps les eaux-mères. On recueille le sel au bout de six semaines à deux mois : on le détache des auges avec des râteaux, 'On le laveqlhifS l'eau-mère; puis en le met dans des vases à claireitielet,dails les cases. La récolte desel se fait trois fois par an; ati'Mifieu de juin, au commencement de septembre et à la fin d'netobre. rp Quel- que soit son mode de production, le sel séjourne 14 jours twr
au'moins dans les cases pour s'égoutter (durée réglementaire); On l'emballe ensuite dans des tonneaux, qui en contiennent 12'7 kilog. On le classe en différentes catégories, pour les usages domestiques et les salaisons. Le "sel de ces 'diverses catégories quand il n'est pas assez pur, forme la seconde qualité, et on l'eploie en mélange avec le foin, pour saler les cuirs, etc. st,'qUS!9
Des diverses analyses données dans le mémoire de M. Garrigues,
il résulte que les sels du Michigan contiennent 0,2 à 0,7 p. 100 de sulfate de chaux (0,09 seulement dans un échantillon, et 1,25 dans un sel commun), o,3 à 1,4 p. 100 de chlorure de calcium, 0,14'à o,o p. 100 de chlorure de magnésium. Le prix de vente, à l'une des usines, s'est abaissé assez régulièrement de ; dollar 1,8o en 1866 à ',Io en 1875, par baril. La pro? 4uction, qui a été en augmentant chaque année, dépassait un peu million de barils (127 millions de kilog.) en 1875. Cette production consiste presque entièrement en sel fin, les autres sortes n'en forment qu'une fraction peu importante. Nous donnerons comme exemple le prix d'établissement d'un établissement capable de produire 125 barils par jour :