Annales des Mines (1880, série 7, volume 18)
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ET FREIN PNEUMATIQUE DE M. SMITH.
FREIN A EMBRAYAGE ÉLECTRIQUE DE M. ACHARD
Les expériences faites sur les trains en marche ont montré qu'on peut obtenir très couramment des dépressions de 4o à 5o centimètres avec des pressions de vapeur variant de 5k,5oo à 8k,Foo dans la chaudière (les plus fortes dépressions ne correspondant pas nécessairement et même pas habituellement aux plus fortes pressions pour les appareils qui ont été employés clans ces expériences). On comprend que la pression finale est indépendante de la longueur
du train; celle-ci n'influe que sur le volume total d'air à soutirer' et par conséquent sur le temps nécessaire pour parvenir à cette pression ; l'influence des rentrées d'air, augmentent avec la longueur du train, pourrait seule ma, tiilier la pression, et l'expérience prouve que cette influence est à peu près négligeable avec les éjecteurs adoptés. L'expérience prouve, en outre, que sur la machine, et même sur le fourgon de tete, le vide se fait très rapidement
et suivant une lequi est sensiblement indépendante,. mr moins dans les preurières Secondes, de la longueur du train. Sur la machine, le mouvement de l'aiguille de l'indicateur de vide est tropï:rapide pour qu'on puisse le suivre et en déterminer la vitesse; sur le fourgon de tête on obtient généralement iïnè dépression de 15 eenthnètres en une, seconde et de 20 centimètres en 2.seconneS. Comme éXèMples des'résiiltats bruts obtenus dans l'ar-
rêt des trains, nous pit,erons les expériences suivantes :
VITESSE
INCLINAISON
CHEMIN
an moment
de la voie.
parcouru jusqu'à
du serrage.
TEMPS
OBSERVATIONS.
Train f19. kilo.. n'un.. mutin,. 66
Saint-Denis.
.
Pierrefitte..
.
Canuse. . .
.
50 55
kussainville. Ouvres.. .
55 53
Luzarches..
67 75 82
.
Chantilly,
0
0 2,6
0 0
0 0
o
1 succédant hi des pentes
de 5..0
mètres. secondes. 298 115 130 135. 125
30 20 20 23 19
23 25 28
3"10 ...
kilog.
centhh.
7,75 7,50 7,50 7,50 7,50 7.25 7,00 7,00
45
6,50,.'.: .7,75
45 43 42 46 47 47
45 43 42 48 42 45
Les sacs étaient branchés sur une conduite unique, la conduite de
gauche étant supprimée au moyen d'obturateurs. Le frein était fait de l'intérieur do la voiture 295.
Emploi de sedia.
Train 118. Orry-la-Ville. torches. . . . , Loures. Gonesse.. ,
48 52 35 70 67
nrrefitte..
70
Chantilly.
.
.
8)9-Dents.
.
100 148
1
15 18 17
300
330
27 '83 25
195
22
300 q 2,6
64
0
7,50 7,25 7,00 , ', 7, 00 ,c
Les deux conduites on été réinblies sur toute la longueur du train. Rails secs pendant toute la durée des essais.
6,50
':01,Er r',
,
EXPÉRIENCE DU /51FÉFRIRR 1878.
Traiecdin posé com ce ui ail janvier, avec addition '`)ie 'ic)t ,
,
à l'aile' (itilei-4)'ag- elénx écnries SIns'Irein, et au restonuran(ttrsain 118) d'une sele'SC'Urie, ce-ç9inui'Làè-les bOl
POIDS
enrayé.
FRACTION en va yee.
kilog.
3c
Train composé de doue véhicules, tous munis du fient, remorqué par 'la machine à grande vitesse n. 2855 dont les quatre roues motrices sont soumises à l'action da frein, ainsi que celles du tender ,46.1100
136.000 .
VIDE
dans la chaul'arrêt obtenu. Pentes. Rampes. complet. parcourir. dière.
EXPÉRIENCE jjU la JANVIER 1878.
Poids total du train environ Poids enrayé Fraction enrayée
PRESSION
mis à. le
Total. Spahi1
457
0,93
Train 119 environ Train 118
160.100
135.000
0,84
153.100
136.090
0,89
Is