Annales des Mines (1882, série 8, volume 1)
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NOTE SUR LES ESSIEUX
ET LES BANDAGES.
défectueuses qui sont mises hors de service après un pardu lot entier. cours bien inférieur au parcours moyen les criques aux ruptures; car, Il est naturel d'assimiler produit sans doute le plus souvent, ce dernier effet ne se crique antérieure qui n'a que par le développement d'une pas été aperçue en temps utile. la forme suiLe tableau H peut alors se mettre sous
de garde le contre-coup de tous les chocs; or ces chocs sont non seulement fréquents, mais encore très violents, tant dans les manoeuvres de gares que dans les arrêts des trains; les attelages des trains de marchandises ne sont
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vante Tableau IV. cl Essieux de tenders en fer de wagons en fer en fer (tenders et wagons)
1.000 1.000 'Loo°
109,0 54,5
310,0 891,0 600,5
CU
690
sont forcés, 11
attribué à l'action n'est pas douteux que cet effet doit être l'un des côtés de des freins. Quand le frein n'agit que sur exercé par le sabot la roue, il est bien évident que l'effort très fréquent; mais tend à forcer la fusée ; or ce cas est de chaque côté de la roue, lors même qu'il existe un sabot le plus souvent que les deux sabots ne sont
il doit arriver
qui conduit au meg
pas également pressés sur la roue, ce résultat. de là que les essieu Il semblerait légitime de conclure les autres. de tender doivent résister moins longtemps que ainsi
- le parLe tableau III montre qu'il n'en est pas
est au contraire supécours moyen des essieux de tender rieur de 15,5o p. 100 à celui des essieux de wagons. il est abord, mais Ce résultat est surprenant au premier d'essieux de
facile de s'en rendre compte. Les ruptures
jamais serrés; de là, aux arrêts, une série de chocs dus aux réactions des ressorts. Tous les wagons, à cause du petit nombre des freins irrégulièrement répartis dans le train, viennent buter contre la locomotive, et ces mouvements n'ayant pas lieu d'une manière régulière, il en résulte des chocs partiels; dans les manoeuvres des wagons, ces chocs sont encore plus violents. Il suffit pour s'en convaincre de relever les avaries de toute nature qui se produisent dans les gares par le fait de ces chocs.
ais
périssent tous par
On voit que les essieux de wagons rupture, tandis que les essieux de tenders
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qui figuvoitures sont très rares ; presque tous les essieux wagons é ceux des rent dans les tableaux précédents sont des plaques marchandises, qui reçoivent par l'intermédaire
Essieux avariés de machines. Dans la période que nous considérons le nombre des avaries d'essieux de machines a été de 281, non compris un essieu coudé de machine en métal Bessemer, qui s'est rompu au tourillon après un parcours de 95.098 kilomètres. Le tableau V donne le nombre absolu des avaries, et le tableau VI, la proportion de chaque espèce d'avaries rapportée à i000 essieux avariés.