Annales des Mines (1883, série 8, volume 3)
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ANNALES
DES MINES. MÉMOIRE SUR L'OXYDABILITÉ RELATIVE
DES FONTES, DES ACIERS ET DES FERS SOUS L'ACTION
DE L'AIR ET DE L'EAU PLUS OU MOINS CHARGÉS D'ÉLÉMENTS ÉTRANGERS
Par M. L. GRUNER.
Dans ma note sur l'acier fondu le plus convenable pour les rails (*), j'ai rappelé que l'humidité, en favorisant la rouille, devait hâter l'usure des rails ; et m'appuyant sur quelques essais de M. Adamson, j'exprimais la pensée que si les rails en acier doux s'usaient moins vite que les rails durs, cela pouvait provenir en partie de l'oxydabilité, plus grande des aciers communs plus ou moins chargés d'éléments étrangers. Il me restait cependant quelques doutes sur le bien fondé (*) Annales des mines, 7' s., t. XX, 1881.
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