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COMBUSTION DES MÉLANGES GAZEUX.

TEMPÉRATURES DE COMBUSTION.

veut mesurer. Il n'en est pas de même avec toute autre forme,

cylindre, dans le cas où la pression intérieure était plus

et la Correction qu'il faut faire subir aux observations devient plus grande et plus incertaine. Quoi qu'il en soit, renonçant à la forme sphérique, faute d'en connaître tous les avantages, nous nous contentâmes

basse que la pression atmosphérique. La base inférieure du cylindre ne portait qn'unL large

de nous en rapprocher en donnant à notre cylindre une base circulaire dont le diamètre était égal à la hauteur. Ces deux dimensions étaient égales à om,17, de sorte que la capacité de notre enceinte était égale à 31',86. Ce cylindre en fer, à fonds plats convenablement bou-

lonnés portait à sa partie supérieure quatre ouvertures. L'ouverture centrale laissait passage à un tube t (fig .

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ouverture sur laquelle était fixé à demeure un tube T pourvu d'un robinet à grand orifice R. Ce tube venait s'adapter au moyen d'une soudure sur un manomètre construit et imaginé par M. Bourdon. Il consiste en un tube en laiton L à section elliptique tordu en hélice et rempli d'eau, ou mieux de glycérine. Ce

tube, ouvert du côté qui communique à T, est tenté à

T)I. XVIII), mastiqué avec de la cire Golaz, pour pouvoir

l'autre extrémité qui porte un petit rbre a mobile sur un e aigrin!' L support f. Sur ce petit arbre est fixée une lo Lorsqu'une pression s'exerce sur le liquide qui reiiplit L,

etre facilement retiré et replacé. Il contenait deux fils

le tube elliptique tend à se détordre, l'arbre

isolés, dont les extrémités inférieures étaient disposées en regard au centre du cylindre et donnaient passage à l'étincelle excitée du dehors au moment voulu. Sur Pune des ouvertures latérales était fixé à demeure pourvu d'un robinet et communiquant par un un tube

et entraîne avec lui l'aiguille 1. Le mouvement angulaire de cette aiguille, ou ce qui revient au même, le dépt .cethr circulaire de son extrémité, est sensiblement proportion à la pression exercée. L'aiguille 1 doit être rigide et légère; nous ravioli s forma

tube en plomb avec une trompe à eau ou une machine pneumatique. Sur une autre ouverture était fixé un autre

d'un de ces piquants de porc-épic dont ou se sert par les porte-plumes. Elle portait à l'extrémité un style formé d'une laine triangulaire de baleine, amincie et lé,séretnentt recourbée à la pointe. Ce style venait faire un tracé sur un papier noirci, recouvrant le cylindre E décrit dans antre

tuiit, également pourvu d'un robinet et communiquant par

un tube mé Rive capillaire à un manomètre à mercure. Le manoinêtr que nous e ployions consistait en un situpl 11w

Liw

verre muni d'une division en millimètres, et une large cuvette remplie de mercure ;

LitJI;ii

à faire qu'une lecture, tandis que le mannté à tort sur la figure en exigerait deux. sur la dernière ouverture supérieure était fixé LiL

i d'un robinet par lequel les gaz étaient inLe cylindre C tout entier était plongé dans une cuve ut nir a température plut= lie d'eau ièr const t à lia sliesurer aisément. On pouvait aussi per i

lerocédé eirop heir la rentrée du gaz dans l'intérieur du

second mémoire. Ce cylindre était mis en mouvement un petit moteur électrique Deprez, imprimant no mouvement de rotation bien uniforme. Pour que la pression exercée dans le cylindre se transmit le plus rapidement possible au manomètre> le tube T

était rempli d'eau, et le fond du cylindre lui-même était. baigné par une couche d'eau extrêmement mince. Cet appareil très simple et très robuste nous a donné de fort bons résultais.

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Graduation du manomètre.

Pour graduer le ma-