Annales des Mines (1883, série 8, volume 4)
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TEMPÉRATURES DE COMBUSTION.
COMBUSTION DES MÉLANGES GAZEUX.
dor 1120
0
1,04
26 X, 3
1,12 1,25
17 VI, 4
140
25 X, 2 25 X, 6
1,12
1,50 1,45 2,91 0,33 0,29 0,12 0,26 0,22 0,29 0,41 0,83
1,12
140
29 X, 7 17 V11,3 29 X, 2 19 VI, 1
17 VI, 2 24 X,
2
2.6 X,
1
26 X, 2
1.09 1,06 1,10 1,09 1,07 1,08
-c-17 = a (rs -po) + b (r -102,
A. 61,1 61 ,.
3,07 2,62 2,78 2,86 2,77 2,89 3,14 5,02 5,98
55 58 68 55 52,4 34,1 17,7 68,5 68,3 68,8
0,21 0,27 0,13 0,19 0,17 0,19 0,20 0,22 0,32 0,19 0,18 0,31
0,0054 0,0050 0,0073 0,0061 0,0068 0,0058 0,0077 0,0124 0,0230 0,0065
yu,
Expérience H20 1,06
- 55,8
o,634
H
= 273 + 21t
Les coefficients a et b qui se tirent de cette figure' sont a
0,023
b = 0,000 58
Lorsqu'on augmente la proportion d'hydrogène, le coefficient a diminue, mais le coefficient b augmente ; c'est ce
qui résulte des nombres trouvés pour l'expérience suivante Expérience (29 X, 1) o6 H
qui donnerait pour 26 x, (3v = 0,0078 0,0012 26 X, 2 26 X, 3 0,0°23
- po
dans laquelle on avait les données suivantes
dissement, environ 5 de gaz permanents pour i de vapeur d'eau. On tirerait de ces 5 expériences 0'4
de
présente une droite. C'est ce que montre la ligne de la fig. 2 , Pl. XIV, s'appliquant à l'expérience (12 VII, 2)
0,0053 0,0052
La loi des variations des coefficients a et p n'est pas aisée à démêler. Lorsque la pression(-5),0 ne varie que dans de faibles limites le coefficient p varie peu. Lorsque (-aro diminue beaucoup, sans que la composition du mélange subisse de fortes variations, le coefficient p subit une augmentation considérable, comme le montrent les expériences 26 X, 1, 2, 5 faites avec un mélange tenant, à l'origine du refroi-
dee - po -dten fonction
et par conséquent
= 273 + 12
e° = 65'2 3,io b = 0,000 74. a = o,006
1
Mélanges formés par la vapeur d'eau et l'hydrogène. - Les lois de la chute de pression ne restent pas
les mêmes lorsqu'a l'oxygène ou l'azote on substitue un gaz beaucoup plus conducteur pour la chaleur, tel que l'hydrogène. Dans ce cas, la loi de l'abaissement de la pression est de la même forme que celle que nous avons établie dans le cas de l'acide carbonique seul. On peut alors poser
Lorsqu'on fait brûler des mélanges d'hydrogène et d'air avec excès d'hydrogène, c'est la loi des mélanges avec azote qui l'emporte. On peut s'en convaincre par l'examen de,1a fig. 3, Pl. XIV, qui montre la ligne représentative de dçe
- po dt
en fonction de ree -po pour l'expérience (24
X, 5) dans laquelle on avait 1120 1,07 Az 1,87 1,13
z-so = 65,2 )
r0 = 273 --I- 12.