Annales des Mines (1883, série 8, volume 4)
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598 NOTE SUR LA FLORE DU BASSIN HOUILLER DE TETE.
BULLETIN.
tudes, aussi bien dans les régions arctiques et tempérées de l'hémisphère boréal que dans les parties de l'hémisphère austral voisines de l'équateur, comme la région du Zambèze, exige que le climat ait été absolument le même partout. Le climat étant uniforme, il est permis de croire que, sur toute la portion du globe occupée par la flore houillère de type européen, les variations de cette flore ont eu lieu partout à la même époque ou du moins à des époques trop peu différentes pour que nous puissions les distinguer, les espèces qui se développaient sur un point, pour s'y substituer à d'autres plus anciennes, rencontrant partout les mêmes conditions et devant se propager très rapidement. Il n'y a donc aucune raison de penser que la flore reconnue dans le bassin houiller de Tete n'ait pas été contemporaine de la flore houillère du bassin de la Loire ou de la Grand'Combe, et il est permis, je crois, de
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BliLLETIN. ACTES DE COURAGE ET DE DÉVOUEMENT. ACCIDENTS ARRIVÉS DANS LES MINES ET LES CARRIÈRES.
Extrait de rapports du ministre de l'intérieur approuvés par le Président de la République en 1883 (*). RÉCOMPENSES NOMS
prénoms et qualités.
LIEUX
ANALYSE
et
des
dates.
faits.
rapporter, au moins avec beaucoup de probabilité, les couches du Moatise explorées par M. Lapierre à l'étage
décernées. MÉDAILLES
--
o
En
20 janvier 1883.
houiller supérieur.
PYRÉNÉES (BASSES-).
classes
BATS (Michel-Édouard)
maréchal des logis à la compagnie Mines d'Arre, Ont sauvé, au prix des plus de gendarmerie vallée courageux efforts, trois mineurs des Basses-Pyrénées. ensevelis sous une avalanche de d'Ossau, FIGUÉ-BADIOLE (Jean). 18 nov. 1882 neige. gendarme à la même compagnie.
2e
16 février 1883. SARTHE.
S'est exceptionnellement distingué en organisant et en dirigeant, 2e
LELANNIER,
jour et nuit, pendant 60 heures,
agent-voyer de l'arrondissement de la Flèche.
Pontvallain, les dangereux travaux exécutés 4 déc. 1882. pour retirer d'un puits un homme qui y était enseveli sous un éboulement à 13 mètres de profondeur.
VALNAY (Vincent),
plus rare courage, dans la même circonstance, en occupant, pendant toute la durée des travaux, le poste le plus périlleux,
N'a cessé de faire preuve du
ouvrier puisatier à La Courbe-sous-le-Lude
Id.
MENTIONS
honorables.
2',
(*) Cet extrait fait suite à celui qui a blé publié dans la 6' livraison de 1882, p. 561.
LETTRES
de félicitations.