Table du Journal des Mines (Années 1794-1810)
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'rABLE GÉNÉRALE
AU JOURNAL DES MYATESe
sources barométriques. Ibid. L'abondance des sources barométriques est en raison inverse de la pression at. mosphérique et souvent en raison directe de l'élévation de la température , mais elle est indépendante de la pluie et de la sécheresse. 171 , 172. Lettre sur l'évaporation des eaux salées dans les
de France et des pays étrangers. XIII.74.
143 et suiv.
Tableau présentant l'emploi d'un stère de bois dans dif-
férentes - 144. Détails des observations qui de base aux calculs exprimés dans ce tableau.
ont servi 145, 146,
147.
.Extrait d'une lettre écrite par un voyageur attaché aux - de Bavière , sur les tablettes de graduation in-
ventées par M. Baader. XXII. iii. 379 et suiv. Développement des divers avantages que cette nouvelle méthode a sur l'ancienne. Ibid. Essai tenté dans la --
d'Artern, en Saxe, pour obtenir du sel par la chaleur du soleil. V. 29. 384. Cet essai fait en grand , a donné des résultats encourageans, ainsi que celui qui avoit été tenté en petit. Ibid. Observations sur le meilleur parti â tirer du dépôt pierreux des chaudières dans les - II. 12. 74. Procédé pour retirer l'acide muriatique deseaux-
mères des - 68.
Observations sur les - du département de la Meurthe, considérées sous le rapport de leurs produits, des combustibles employés à l'évaporation des eaux salées, et des moyens de perfectionner la construction des chaudières , par M. Loysel. III. 13. 3 et suiv. Leur nombre. 5. Leur degré de salure. Ibid. Leur produit en sel. 7. Parti qu'on peut tirer des schlot , muire , etc. o. Sulfate de soude qu'on peut en extraire. 11 , 12. Consommation des combustibles. 13. Découverte de tourbières auprès de ces salines. I. 2. 59. III. 13. 13. Bois fossile. 14. Importance des houillères de Sarrebruck , pour ces salines. Ibid. Améliorations dont elles sont susceptibles. lo , 16 et suiv. 23 et suiv. Changemens à faire dans la construction des chaudières. 27 et suiv. Figures des chau-
dières. III. i3. Planche 1o.e Les - de la Manche se
servent de chaudières de plomb. 21. - des arrondissemens d'Avranches, Coutances et Carentan, (Manche.) II.7. 27 , 54 , 58. Procédés en usage dans ce département. 59 et suiv. Observations sur les .- du Jura et du Mont-Blanc,
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par M. Hassenfratz. I. z. 69 et suiv. 3. 1 et suiv. Procédés qu'on y emploie. Ibid. Moyens d'utiliser les cendres des - 14. Notice sur les puits qui entretiennent la -- de Montmorot, près Lons-le-Saunier, ( Jura) , extraite d'un mémoire de M. Chardar. XV. 86. 111 et suiv. Les eaux salées dont cette saline fait usage s sont retirées de trois puits différens. 1il. Degré de salure , moyen dont on se sert pour le constater. 112. Produits des trois puits pour l'an 7. 113, 114, 115. Récapitulation. 116. Cuites, déchets et produits. 116 ? 117.
Sur les - de Moutiers, ( Mont-Blanc), extrait d'un
mémoire pour servir à la description minéralogique du département du Mont-Blanc. I. 4. 68 et suiv. Roc salé d'Arbonne. 69. Sources salées. 71, 73 et suiv. Bâtimens de graduation. 75. Evaporation par le feu. 76 , 77 , 78.
Procédé de cristallisation. 78. Succès qu'auroit cette opération dans d'autres salines. 8o. Sur les --- de Moutiers, extrait de la statistique des mines et usines du département du Mont-Blanc, par M. Lelivec. XX. 120. 477 et suiv.
Analyse de l'eau de Salins, et des produits de la
de Moutiers , par M. Berthier. XXII. 128. 81 et suiv. Méthode d'analyse. 82 , 83, 84. Séparation des sels par
cristallisation, impossible. 83. Composition des sels qui ont servi de base aux analyses. 85. 1.° Eau de la petite source de Salins. 85 et suiv. >.° Eau prise au pied des premiers bâtimens. 92. 3.° Dépôt des eaux pris dans le bassin des sources. 92 , 93. 4.° Dépôt des eaux puisées dans les canaux de conduite à plus de 100o mètres des sources. 93 , 94. 5.° Dépôt des épines du premier bâtidu ment de graduation. 94, 95. 6.° Dépôt des épines° 95. bâtiment n.° 3, sur lequel les eaux arrivent à 3 7.° Dépôt des épines du bâtiment n.° 4, sur lequel les
eaux arrivent à Y2.° 95 , 96. 8.° Eau graduée prête à être conduite dans les chaudières et marquant 18,° 'S. 96 , 97 , 98 , 99. 9.1 Schlot qui se dépose dès que l'eau des chaudières entre en ébullition. 99, 100. 10.0 Schlot moyen qu'on retire des chaudières , au bout de 12 heures de feu, c'est-à-dire, au milieu du schlotage. 100. 11 .° Dernier schlot qu'on retire des chaudières, un peu avant de commencer à saliner. loi. 12.° Eau saturée
des chaudières marquant 26,°7o à l'aréomètre, telle