Annales des Mines (1885, série 8, volume 8)
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POUR LE FONÇAGE DES PUITS DE MINES.
MÉTHODE DE CONGÉLATION DE M. POETSCH
On arrive alors à
une certaine erreur par excès en les calculant de la même manière. Cela posé, nous avons à calculer S. L'aire élémentaire mm'n'n a pour expression et
rcly.
S 0
On a d'ailleurs (§ III) pour le volume à 00
r r, ,
n 0,O
OU
2+
h
D'ailleurs on a
ce=
h Q'
S=Soe'ru. Vu =
Cette expression de Yu se rapporte à une surface isotherme au-dessous de 00 (u 0). Pour les surfaces audessus de 00 (u > 0), il faut remplacer, dans a et a', K, qui est la conductibilité du terrain congelé, par K, coefficient de conductibilité du terrain non congelé. On a alors au lieu de a et a'
r
=2Kh
-
Où
CH
et
-
2
Q 2usIi./t
2 wK Q
r,'
Donc 0,
0,
h
29:KK h
r
ro e
C
7.
1
r
Y
a=
r = ro e'Y
CII
Donc So = 2r0 She'Ydy
(e«Y)o"
so =. 2ro (ea_ 1) Vo
)22
a
(e«l'
Pour avoir le volume d'une surface isotherme quelconque il suffit de prendre u
Q
2-eli.h
Comme approximation j'admettrai K K mais il serait fort intéressant de déterminer la valeur de K, conductibilité du terrain congelé, qui peut être assez différente de K Cela posé, les calories enlevées au terrain comprennent non seulement celles qui ont été soustraites à la
Je pose
(7)
ro ee
h
da = rdy
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1r ri
(u désigne la température avec son signe et 0 représente la valeur absolue).
partie congelée, mais encore celles qui ont été enlevées aux parties voisines du terrain de part et d'autre, amenées, pour que l'équilibre puisse s'établir, aux températures 1°, 2°, 3°..., (t I)°, t° étant la température moyenne du terrain environnant. I° Toute la portion congelée dégage en se congelant la chaleur latente de fusion de l'eau qu'elle contient, soit 79 calories par kilogramme d'eau. Si m représente le nombre de kilogrammes d'eau contenus dans 1 mètre cube du terrain, ce mètre cube coilgelé dégagera nz><79 calories de chaleur latente ;
2° I mètre cube de terrain en se refroidissant de 10
cède un nombre de calories représenté par p. (capacité calorifique de l'unité de volume). Si p. n'est pas donné, Tome VIII, 1885.
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