Annales des Mines (1888, série 8, volume 14)
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294
COMMISSION DES SUBSTANCES EXPLOSIVES.
EMPLOI DES EXPLOSIFS EN PRÉSENCE DU GRISOU. 295
DATES
NIES
de
NATURE
MODE D'EMPLOI
l'expé-
de l'explosif
de l'explosif
rience
23V!
Nue. Dans tube Sn 25/40.
id.
60 coton à 173 c. c. 40 azotate ammon.
Nue. Dans tube Sn 25/40.
coton à 173 c. c.
NOTE A.
PSI
déto
de l'amorce
2<14,
en Es
,à>
80 coton à 173 c. c. 20 azotate ammon.
id.
dévd
NATURE
c,
d'
gr. 30 id.
1 am. de 10,5
id.
id.
3,3
id..
id.
30
MTE THÉORIQUE SUR LE CALCUL DES TEMPÉRATURES DE DÉTONATION O
ET LA FORCE DES EXPLOSIFS.
ici.
Nue.
Par MM. MALLARD et LE CHATELIER.
id.
65 azotate ammon. I35 i
9 VI
25 coton à 173 c. c. 75 azotate ammon.
9 VI
67 dynamite. 33 chlorhydr. d'arnm.} I
dynamite.
id.
40 chlorhycir. d'ami. I60
ici.
50 dynamite. 50 chlorhydr. cl'amm.
id,
2 am. de 10,5
Nue. Dans tube Sn 25/40.
id.
1 am. de 10,5 id.
Nue. Dans tube Sn 25/40.
id. id.
Nue.
ici.
Dans tube Sn 25/40.
id.
ici.
I
I
Si C est Calcul théorique de la température de détonation. la chaleur spécifique à volume constant, moyenne entre 00 et t°,
Id. ici. 11
id.
des produits gazeux de détonation d'un certain poids d'un explosif; si Q est la chaleur de décomposition correspondant à ce poids et au mode de décomposition réalisé dans la détonation, la température t est donnée par la formule Ct =Q. (I) Le chaleur spécifique C n'est pas constante avec la température comme l'ont démontré les expériences de MM. Berthelot et Vieille Cl et les nôtres (**).
67 dynamite. 33 alun d'ammon.
Nue.
50
il am. de 10,11
Dans tube Sn 25/40.
id.
I
20 dynamite. 80 azotate ammon
Nue. Dans tube Sn 25/40.
50
ici.
I
Si l'on admet que la.valeur de C, à toute température, est représentée par une expression linéaire (I)
18 V
1 am. de 1g,5
C
a + bt,
l'équation précédente devient
at
Q.
Pont' connaître t, il faut connaître a, b et Q, ce qui suppose connue la loi de la décomposition. Cette hypothèse étant réalisée, les nombreuses recherches de MM. .Berthelot, Sarrau et Vieille font connaître Q. Quant à a et b, la décomposition des explosifs donnant, en général, naissance à des gaz condensés tels que CO° et 11=0 et à des gaz non condensés, dits parfaits, tels que CO, CM, et les gaz simples, on peut les déduire des expériences que nous avons données dans le mémoire déjà cité pour (*) C. R., t. XCVIII (1881).
(`*) C. R., t. XCII (1882), et Ann. des mines, 80 s., t. IV (1883).