Annales des Mines (1888, série 8, volume 14)
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POUR L'EXTRACTION DU SEL.
ÉTUDE SUR LES APPAREILS PICCARD
cylindre, T, = 273 -I- 0,. Nous avons donc finalement s
( 0,
)
dans le second cas, la quantité de chaleur disponible est,
travail, moindre que dans le premier cas. Dans les condiApplication à l'appareil Piccard. tions de marche moyenne on a, pour l'appareil Piccard comme le
(0.4 0, + 330 \ 0, + 51 )
Et cette expression portée dans la formule (a) donne
x, = 601 0,702
0,48 (0,
0, )
0,40,+ 330
Deuxième cas. Dans le deuxième cas, la vapeur comprimée n'est pas surchauffée, mais en revanche une certaine
quantité x est venue s'adjoindre au poids de vapeur initial. Appelons m la chaleur spécifique de la vapeur saturée; en négligeant la chaleur absorbée par la petite quantité d'eau qui peut se trouver dans le cylindre, on a, à chaque instant de la compression,
93°88,
0,
y' = 0,9457,
P
et
0, 1)4
120°6, 1,1892.
Les formules (14) (21) et (22) donnent 3ch',
T,
s = 67°7,
xi = 556`ai-.
Mais ces résultats, qui, d'ailleurs, ont été obtenus au moyen de formules assez grossièrement approximatives, devraient être modifiés pour tenir compte des déperditions de chaleur.
dT ,
mais m est donné, comme on sait, par la relation dr
m=
0",8
p d'où
°I ± 51
dx = (I ± z)
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DEUXIÈME PARTIE. APPAREIL PICCARD A SEL FIN.
±
On a donc dx
x
dT T
dr
r
r
1° Description de l'appareil.
C1dT.
Or, entre 90 et 110 degrés, on peut prendre cl 1,015 et ro = 607 0,70; et, en intégrant logarithmiquement l'équation différentielle précédente et déterminant la constante, il vient 1+x
Abhandlung über ein für alle Gattungen von Flüssigkeiten anwendbares neues Abdampfverfahren mittelst einer und
T, r (855_ 011,43. T, r4 8D5
D'où on conclut que la quantité de chaleur x, rendue disponible par la condensation de la vapeur est x2
T, (855 (1 + X)ro2 = roi Ti 455
\ 1,43
La comparaison de cette formule avec (22) montre que,
ei
Pierre Rittinger essaya en 1855, à Vienne, d'appliquer la méthode de compression de la vapeur à la vaporisation des dissolutions salées en vue d'en retirer le sel. Il publia une brochure intitulée : Theoretische praktische
derselben Wiirmemenge, et essaya un appareil dans lequel le sel devait, pensait-il, se rassembler de lui-même au fond de la chaudière disposé en trémie, de sorte que, pour évacuer le sel et l'eau qui l'emprégnerait , il suffirait d'ouvrir un robinet placé à la partie inférieure. On peut voir dans l'OEsterreichische Zeitschrift für Berg- und