Annales des Mines (1892, série 9, volume 2)
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eCOULEMENT DE L'EAU DES CHAUDIÈRES.
ÉCOULEMENT DE L'EAU DES CHAUDIÈRES.
meture et l'ouverture. Aucun frottement parasite ne risquerait alors de troubler l'écoulement, l'orifice se trouvant entièrement dégagé. Un certain temps avant chaque expérience, on arrêtait l'alimentation pour que toute l'eau prît la même température : dans une chaudière Field, où les tubes pendants provoquent la circulation de l'eau, cet équilibre de température doit être rapidement atteint. Puis on isolait la chaudière de la Conduite générale de vapeur. Le robinet
pas notablement pendant l'essai, car le manomètre n'indiquait aucun changement de pression. On laissait ainsi s'écouler 800 ou 900 litres lors d'une première série d'expériences, et 200 seulement lors d'une seconde série, puis on fermait brusquement le robinet. On notait la durée de l'ouverture à l'aide d'un 'compteur à secondes.
de vidange était alors ouvert brusquement et en grand. Pendant l'écoulement, on continuait à chauffer la chaudière à l'aide des gaz chauds du four ; la température de la masse d'eau et de vapeur dans la chaudière ne variait
gouttelettes d'eau, avait un aspect remarquable, représenté par les deux phototypies ci-jointes (fig. 2 et 3). Il n'avait pas de partie cylindrique à la sortie de l'ajutage, mais s'épanouissait immédiatement dans tous
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Le jet, formé d'une masse blanche de vapeur et de