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Annales des Mines (1893, série 9, volume 3)

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LAPPOIIT SUR LE 4e CONGRÈS INTERNATIONAL

qu'enfin, si l'on tient compte de l'augmentation des dépenses de matériel roulant et d'exploitation, conséquence ,de l'accroissement du nombre des trains-kilomètres, le bénéfice net accusé par la. direction des chemins de fer

de l'État hongrois correspond en réalité à un déficit. M. de Peri estime qu'en tous cas, on ne pourra avant plusieurs années être édifié sur les résultats réels des tarifs par zones.

Discussion. M. Ludwig déclare que la réforme en Hongrie a eu pour but de développer les voyages à petite distance qui n'existaient pour ainsi dire pas à cause de l'éloignement des agglomérations entre elles et de leur éloignement de la voie rerrée. Il rectifie quelques errours qui se sont glissées dans la note de M. de Perl et qui ont surtout trait à la statistique, du nombre des voya-

DES CHEMINS DE FER.

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à d'antres résultats en prenant 1",.10 (*) pour le °dit du voyageur-kdomètre u u heu de 1",55; il soutient qu'en Hongrie, depuis 1;t réforme, les recettes brutes se sont accrues de :.0 p 100 et qu'il n'y a nullement un déficit de deux ni iii i ris de florins comme on le prétend. M. de Perl admet qu'il peut bien y avoir un bénéfice, mais on ignore si le gain provient du trafic des voyageurs ou de celui des marchandises. M. fleur; eau aurait voulu obtenir des renseignements sur les résultats qu'a produits en Hong' ie pour les 13° et

certaines catégories de billets. Une discussion assez longue s'est engagée entre M. Ludwig et M. de l'erl qui conteste les résultats dé-

Ile zones l'admission des voyageurs de 30 classe dans les trams express. Sur une question de M. Noblemaire relative à la proposition présentée incidemment par M. de Peri en vue de la Créati,11 d'en tarif différentiel pour les vr yageurs, M. Du rr cteur génér 1 des che t bis de er de 1 État rouinai , (hume, dis indications sur las tarifs r.rumains. La base kilo:nétrique, faible pour les petites distances (11,0 runir " r lasse), passe par un maximum pour les parcours dc 250 kilomètres (0',12), puis redesend et redevient ugalc Li Of»; à 500 kilomètres. La base de la 2° classe ir 400 kilomètres est la même

duits de la statistique, pdbliée par les chemins de fer hong. ois. M. de Perd s'appuie sur une certaine évalua-

qu'aux petites distances. Le même effet se produit à 30i.s l kiloniètr es pour la 3' classe. Ona ainsi favorisé à la

tion du prix de revient dont M. Ludwig recourrait ne pouvoir. fournir la valeur exacte. Il estime qu'en général un

les tics grands et les très petits déplacen.ents, et les recettes ont augmenté d'un tiers. M. Barahant propose de résumer cette Concludons.

gein.s que M. de Perd croyait ne pas répondre à la réalité

des Lits en raison de la manière dont sont délivrées

voyageur-kilomètre coke plus cher aux compagnies qu'une tonne-kilomètre. Or, en admettant l'égalité, lit réforme hongroise aurait donné lieu à un déficit. En tous cas, le nouveau système ne peut convenir pour los pays où les voyages se font à de grandes distances connue eu Russie. l,a taxe du voyageur peut être différentielle dans ce cas, mais le prix payé doit être proportionnel ad sel vice rendu. M. Ludwig fait observer que M. de Perl serait arrivé

intéressante discussion dans une résolution qui a été adoptée ave._; de légères modifications et arrêtée dans les ternies sari ants « Pou, la reforme des tarifs voyageurs , il est impos-

« sitle do poser des règles absolues, s'appliquant à tous « les pays. (*) Le krd,ttzer vital, 01,021 environ.