Annales des Mines (1896, série 9, volume 10)
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C
290
BULLETIN
THÉORIE DE LA STABILITÉ' DES LOCOMOTIVES
2° PLOMB.
THÉORIE
291
DE LA CONS0à1à1ATION DE MINERAI PRODUCTION .__
PAYS
du
minerai
France Angleterre
ton. mét ton. mét. 25.400(a) 14.400 41.200 41.200
Belgique Allemagne Autriche llong:rie Russie
200 162.700 12.000 10.000
Espagne Italie
322.600 29.800
Suède
Norvé, Hollande Suisse Turquie Portugal Roumanie Serbie Europe
400
160.000 10.500
2.000
6.000(d)
Grèce
indigène
4.000 2.000
302.700 23.400 6.000
14.800 »
o
étranger
totale
ton. mét. ton. mét. 6.000 20.400 15.900 57.100 16.100 16.500 49.000 209.000 2.400 12.900 4.000 » 2.000 » 302.700 13.400 36.800 6.000
700
» » »
» ,
700 »
cnooecnox IMPORTATION
du
du
plomb
plomb
152.600 19.600 16.000 300 » »
»
»
620.700
,
'
»
1.500 1.800 700 7.400
9.900 4.200
»
200
»
170 3()
668. 100
SOMMATION
du
du
plomb
plomb
ton. mét. (COI. mét. 8.700 84.700 8.100 42.700 164.500 (b) 05.000 14.100 43.500 34.700 104.400 25.800 35.200 9.600 1.400 9.000 2.300 900 28.300 300
»
',
CON"
NATION
ton. mét.
» , »
E.P.R-
159.000 (c) 1.200 8.000 (e) 800 200
2.700 209 o » »
371.200
(SECONDE PARTIE) (0)
ton. mét. 85.300 142.200 22.900 95.000
L'Europe a importé 40.000 tonnes de minerai de plomb et 70.000 tonnes de plomb (voir pour cette dernière quantité la note b ci-dessus).
Par M. J. NADAL, Ingénieur des Mines (Suite et fin) (*).
28.900 6.000 19.900 8.000 1.300
CHAPITRE II (suite).
500
4.700 2.700 4.200
XII. - Circulation en courbe.
200 170 30
Quand un véhicule se déplace sur une courbe, le boudin 441.500
(e) Une douzaine de mille tonnes de cette exportation ont été prises vraisemblablement sur (d) Il a été extrait en outre 70.000 tonnes de minerai de fer plombeux. (e) Exportation en Angleterre, d'après la douane de ce pays.
MOUVEMENT DE LACET
19.500
(a) Non compris 3.600 °fines de minerai de fer plombeux. (b) 66.000 tonnes sont importées en Angleterre d'Australie et d'Amérique. production antérieure.
STABILITÉ DES LOCOMOTIVES
la
de la roue d'avant extérieure a tendance à rester eu contact avec le rail. Ce contact persiste-t-il, dans une locomotive, quoiqu'il y ait des forces tendant à lui imprimer
un mouvement de rotation sur elle-même ? Cela dépend de la valeur relative du moment produisant là rotation et du moment résistant. Il y a donc lieu de rechercher tout d'abord quelles sont les forces de frottement qui sent déve-
loppées entre les roues et les rails dans le mouvement d'une machine, ou plus généralement d'un véhicule quelconque, en courbe. Considérons un essieu seul, se déplaçant sur une courbe de rayon R. Traçons trois cercles concentriques, 0,, 0 et 02, -avec les rayons R 'R et e _ e, E étant le demi(*) Voir tome IX, 4° livr. 1896, p.. 413-467, et tome X, 8 livr. 1896, P. 232-288.
Tome X, 9° livraison, 1896,