Annales des Mines (1897, série 9, volume 12)
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NOTE SUR *LES CHOCS DANS LES TUYAUTAGES
constamment en baissant et assez rapidement (fig. 4). Le coude a est très court. Phénomènes observés. On observe un choc dans le tuyautage extérieur au ,Commencement de l'alimentation et plusieurs chocs à la fin.
D'ALIMENTATION DES CHAUDIÈRES
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CAS N° 7. Il ne diffère du précédent que par le tuyau-
tage extérieur qui, ici, passe an-dessus du 'régulateur (fig. 7).
1111e diffère du précédent que par l'addiCAS N° '5. tion du siphon renversé au iiiyautage intérieur (fig. 5).
Fia. 7.
Phénomènes observés.
Fia 5.
Le choc initial ne se produit Phénomènes observés. que si l'on est resté pendant fort longtemps sans alimenter. L'on a des chocs multiples à la fin de l'alimentation ils sont très faibles.
Tout tuyautage intérieur est supprimé. Le tuyautage extérieur est tout entier au-dessus du régulateur (fig. 6). CAS N° 6.
Niveau
de
l'eau
no. 6.
Phénomènes observés. de chaque , alimentation.
a un choc unique à la fin
A la fin de l'alimentation on a le même choc que précédemment ; en outre, l'on a un choc dans le tuyautage extérieur au début de l'alimentation, si l'on est resté un certain temps, mais relativement court, avant d'alimenter. La suppression du clapet du régulateur alimentaire ne modifie en rien les phénomènes relatés ci-dessus, si ce n'est que les chocs se produisent en même temps dans le
tuyautage extérieur et intérieur qui, ici, ne sont plus distincts.
4° Influence de la température. - Dans les limites où nous avons fait nos expériences, c'est-à-dire entre la température ordinaire et 100°, l'influence de cette tempéra-
ture est pour ainsi dire nulle.
II. - Chocs dans les tuyautages intérieurs à la chaudière. Nous venons de voir que, pour tous les cas signalés, sauf le -n° 3, il y a toujours des chocs, simples ou multiples, intenses ou faibles, à la fin d'une alimentation. Le cas le plus simple est celui où il n'y a aucun* tuyautage intérieur à la chaudière. Il se produit à la fin de l'alimen-L Tome XII, 1897.
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