Annales des Mines (1897, série 9, volume 12)
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NOTE SUR LES CHOCS DANS LES TUYAUTAGES
D'ALIMENTATION DES CHAUDIÈRES
se condensant dans le tuyautage, puisse faire revenir cette
à distribuer l'eau dans toute la chaudière. Il suffit d'établir un canal crépiné immédiatement après le clapet.
eau en arrière. Nous avons déjà vu que l'on arrive à ce résultat dan. le cas n° 3 ; mais Cette C.W...111»20. disposition ne permet ..Y.Gfeleed7.5.31.
pas de répartir
l'eau
d'alimentation sur toute la surface d'évaporation, ce qui peut être la cause d'entraînement
d'eau de la chaudière et de fatigue locale des pièces de construction de celle-ci. On peut aussi arriver
à faire disparaître les chocs intérieurs en re-
Fie. 13.
FIG. 14.
Nous avons essayé la disposition suivante (fig . 15) où
produisant, sur le tuyau-
tage d'alimentation intérieure, une disposition analogue à celle qui, sur une conduite d'eau, consiste à couper le tuyau d'aval au ras du tournant. Dans le cas du tuyautage intérieur à la chauFIG. 12.
dière, elle revient à placer un clapet s'ouvrant de l'extérieur de la chaudière vers l'intérieur sur le tuyautage intérieur de celle-ci en un point quelconque, et à faire déverser l'eau immédiatement après (*) (le clapet retenu sur son siège par un ressort) (,fig. 13 et 14). Cette solution présente le même défaut que la précédente. Il est toutefois très facile de la modifier de manière (*) La disposition du premier croquis (fig. 13) est la première que nous ayons été conduit à essayer, après avoir remarqué l'analogie des chocs dans les chaudières avec ceux des conduites d'eau ; c'est elle qui nous a conduit à l'explication des phénomènes.
le tuyau ab est crépiné par le bas et ouvert par le haut, de manière à éviter toute formation de piston d'eau.