Annales des Mines (1898, série 9, volume 14)
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et en mettant en évidence 1----= 0",2, on a ta (1,2240a + 0,420, + 0,6850,).
K
Le coefficient de 0, étant mis en facteur, il vient 1,224ta (0a + 0,340, + 0,5501).
Cette équation a sensiblement les mêmes coefficients (I
0, et 01 que l'équation (9), et on peut prendre cornu], formule générale dés condensations pendant l'admission
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Jacobus (*), qui, en cherchant à établir une formule empirique des condensations d'après les résultats de ses propres expériences et. de ,celles de M. Willans, a trouvé que la quantité de chaleur perdue était beaucoup plus près d'être proportionnelle à l'écart des températures pendant
la détente qu'a l'écart total. Le professeur ,l-acobus est ainsi porté à croire que les condensations ne dépendent que du premier de ces écart, conclusion excessive, qui cênduirait à cette conséquence invraisemblable que, dans une machine marchant à pleine admission, il n'y aurait pas de condensations. En fait, la formule que nous avons établie montre que l'écarttotal des températures exerce, lui 'aussi, une notable influence sur les pertes de chaleur. -
dans- le cas où t = Q
t
10 1
StaA(0a + 0,340, + 0,550i),
avec A = 1,65 >, 1,224
2,0096; tandis que ce coefXVII I Condensations sur la paroi cylindrique. .
ficient varie pour t
ti de 2,46 à 2,83.
On voit que la quantité de chaleur perdue pendant l'ad-
mission n'est pas proportionnelle à la durée ta de cette phase 1°
Parce que le coefficient
diminue quand
augmente -
20 Parce qu'il y a aussi diminution de l'écart températures pendant la détente. L'influence de cèt écart de températures 0, -est prépondérante, et la perte de chaleur n'est pas proportionnelle
à l'écart total des températures de la vapeur, cdntrairement à-ce qui a été généralement admis jusqu'ici Il est, du reste, fort heureux que cette proportionnel n'ait pas lieu, sinon les machines à condensation n'auraient pas sur les machines sans condensation la supériorité qui
a toujours été constatée en pratique. Cette influence prépondérante de l'écart des températures pendant la détente a été pressentie par le professeur
le cas du § XVI, où ta =
1
10
Censide-
11. Prenons une couronne .rons
cylindrique découverte par le piston au temps t, compris entre 0 et ta , et dont la surface, D étant le diamètre,. C la, course, et dl l'élément infiniment pètit de chemin parcouru par le piston, est niDdl
nCll 27r
2-t4 sin
2nt
dt.
Cette couronne cylindrique sera soumise à une source de chaleur; dent la température est donnée par le dia-. gramme de la vapeur, de la même façon que la surface de
l'espace nuisible, avec cette différence que la durée de.
pleine pression variera de t à 0. La quantité de chaleur, dq, absorbée par la couronne Ddl, découverte pour t
o, sera la même que pour la surface-couvercle,
(*) Proceedings of the Institution of Civil Engineers, vol. CXXXI, session 1897-1898.