Annales des Mines (1899, série 9, volume 16)
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LES MOUVEMENTS DES EAUX SOUTERRAINES
tèrent rapidement, tandis que ceux à plus grande dis-
DANS LA RÉGION DE TEPLITZ ET DE BRÜX
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tance étaient moins et plus lentement influencés.
Le régime des eaux de mine, tel qu'il a été mis en évidence par les sondages 1 à 3, est tout différent. Au sondage 1, on a vu, en 1897, que les eaux se tenaient à la cote 122',50 (80 mètres au-dessous des puits) ; dans
BIBLIOGRAPHIE.
les sondages 2 et 3, à 97 et 95. Ces différences de niveau
s'expliquent par les difficultés de circulation entre ces trois points, situés : le sondage 1 à 350 niètres du sondage 2, le sondage 2 à 200 mètres du sondage 3. Enfin, les sables aquifères enmagasinent une réserve
I. - CATASTROPHES DE TEPLITZ.
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Der zweite Wassereinbruch von Teplitz-
1888. NORB. MARISCHLER..
I. Studien über den Ursprung der TeplitzSchônauer Thermen ; II. Die Ergebnisse
d'eau sous pression, qui, en temps ordinaire, communique bien avec la nappe phréatique des puits, par laquelle elle
est alimentée à un niveau supérieur, mais non avec les eaux de mine situées au dessous. Toute issue, si étroite qu'elle soit, brusquement ouverte sur les mines, amène
t. XXIX).
donc une catastrophe telle que celles racontées plus haut : catastrophe exagérée, dans le cas présent, par le déplace-
ment des sables, qui en est la conséquence et l'écroulement des cavités laissées Vides après le départ de ceux-ci. Le fait qu'une simple petite veine sableuse d'au maxi-
mum 0°1,20 d'épaisseur a pu amener les accidents de 1896 est fort intéressant. On s'est demandé si ce déplacement des sables tenait à la seule compression des terrains superposés, lorsque
l'eau qui résistait 4, cette charge est déplacée, ou s'ils étaient réellement entraînés par l'impulsion des eaux. Cette dernière hypothèse est rendue vraisemblable par la forte résistance à l'écrasement qu'offrent les sables asséchés et la facilité avec laquelle ils se laissent entailler au jour. en talus verticaux.
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der Teplitzer Tiefbohrungen in geologischer
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