Annales des Mines (1899, série 9, volume 16)
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NOTE SUR LA DÉTERMINATION
DES CHARGES REMORQUÉES PAR LES LOCOMOTIVES 537
et, en posant
Application de la méthode générale avec la formule de Poncelet.
IV.
M
N
§ I. =. SOLUTION EXACTE. Mv
Si, au lieu de la formule de M. Ledoux, on emploic, celle de Poncelet pour repréSenter le travail de la vapetr par coup de piston, les résultats qui précèdent se .simplifient considérablement, et comme, au demeurant, aprè: une longue expérience, les calculs donnés par cette formule, employée par la Compagnie de Lyon, ont paru très satisfaisants à cette Compagnie, il nous paraît intéressant de faire connaître les résultats auxquels elle" conduit. En employant les mêmes lettres que précédemment, désignant par p un coefficient de réduction, cette formule, est e.
lz (
Iscl, 43 104 4 - .
1
100
loge
z
N
(P
Q) D loge 10,,,pd2/
[(P
Q) (i + 4,5) + Ri D loge 102. p
z (2 ± loge)
+ 102 loge . p'
z log z.
Telle est la première équation du calcul des charges
qui doit remplacer l'équation (11) ou (11 bis). La fonction que nous avons appelée U est ici U = (2 + loge)
z log z.
On voit qu'elle est la même pour toutes les machines ; il suffira donc de construire cette courbe U une fois pour toutes et de l'appliquer à toutes les machines indistinctement.
Si l'on pose, comme précédemment,
p' 100 p z
M.y+N=-_V,
p désignant la pression absolue de la vapeur dans le cylindres, et p' la pression atmosphérique Pg",03. Elle peut, s'écrire
cette équation sera encore une droite; les quantités que nous avons appelées p. et y seront ici : D loge 1 0.4 ppd,1
102p
4 log e
pd21 [z (2 + log e)
z log z]
104p
4
. np' d21.
v
1011p. + 102 loge
on aura donc :
En la multipliant par -4, pour avoir l'effort de traction F, on aura . 102
loge
= p. (P
Q) (y ± 101 + 1,5) ±
y.
Le faisceau des droites V aura pour sommet pc1,1 D
[z (2 ± loge)
z log z]
p 10,
/221.
V,
On doit donc avoir loge) (P+Q)(i+1,51-0,1v)+ReLl[z(2+ loge D
v,
vo = (101 ± 15). Les valeurs de p. et V ne dépendent que des éléments de
p'
zlogz]p104--fj-
la machine. La fonction linéaire V de la vitesse y est
donc bien déterminée pour toute machine. Si nous la désiTome XVI, 1899.
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