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nalcs (fig. 4, dans le texte) et par l'inclusion dans uncnbe d'un autre cube, modifié ou non, avant tourné de 45° autour de l'axe quaternaire commun (fig. 5 et 6, dans le texte) ; 4° Le photogramme 6, Pl. II (400 diam., éclairage vertical), montre une association assez curieuse qui rappelle, à première vue, la marie du diamant, par hémitropie moléculaire, associant deux tétraèdres à arêtes croisées, avec leurs angles abattus parles tétraèdres inverses; mais les quatre triangles visibles sont ici rectangles et situés dans un même plan; ils ne peuvent pas représenter des faces «'. Dendrites. — L'étude des dendrites au moyen de l'appareil rotatif décrit ci-dessus (fig. 1, dans le texte) permet d'y reconnaître les trois premiers modes d'association que nous venons d'indiquer : 1" Une file de cubes égaux accolés par une face avec coïncidence des centres donne un filament à section y ■carrée; 2" Une série de cubes parallèles s'emboîtent comme le montrent les fig. 2 ou 3 du texte. Ce mode d'association est susceptible de complications diverses, surtout quand la réduction du chlorure ferreux est effectuée par la vapeur de zinc et quand on s'approche le plus près possible de la limite supérieure do température compatible avec la stabilité du fer j3. L'une des plus communes est la suivante : L'unité, au heu d'être un cube simple, est un groupe de cinq cubes égaux dont quatre sont disposés crucialement contre les quatre faces du cinquième; une de ces unités se superpose à la précédente, de façon que chacun de ses cubes soit emboîté en retraite par un angle avec le cube correspondant sous-jacent, et ainsi de suite. La fig. 7 (dans le texte) représente schématiquement la

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superposition de deux telles unités projetées sur un plan parallèle à leurs bases, et le photogramme 15. Pl. II {100 diam., éclairage oblique), reproduit l'un des aspects d'une pareille dendrite, flanquée d'ailleurs de quelques cristaux parasites. Cette dendrite, avec beaucoup d'autres semblables, a été obtenue dans l'expérience 8. Dans l'expérience 9, également par la méthode de Poumarède, où la température n'avait pas dépassé 787°, les dendrites étaient moins bien développées ; mais le mode d'association usuel restait le môme. 3" Dans une colonie dendritique, des faces p peuvent s'accoler à des troncatures sur les arêtes, et il en résulte des formes courbes. Ces différents types de dendrites peuvent se simplifier, du moins en apparence ; c'est-à-dire que les unités constituantes perdent leur individualité par dégradation des angles et des arêtes et se fondent, pour ainsi parler, les unes dans les autres. S'agit-il d'un stade embryonnaire ou, au contraire, d'une sorte de dégénérescence? C'est ce .qu'il est malaisé de distinguer. Quoi qu'il en soit, tous les types aboutissent ainsi, à la limite, au fer filiforme, qui avait été déjà observé par Péligot. Mais, entre ce fer filiforme, à surface lisse et à section arrondie et la dendrite à éléments différenciés, on trouve toute une série d'intermédiaires qui établissent la liaison. Par exemple, les angles rentrants de la dendrite représentée par la fig. 7 du texte et par le photogrammelo de la Pl. II se réduisent progressivement à des cannelures longitudinales continues; de même, les angles rentrants entre les unités successives laissent des cannelures transversales, alors que l'entité distincte de ces éléments est [devenue méconnais-