Annales des Mines (1901, série 9, volume 20)
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Pour éviter lu marche trop lente du moteur, on commande parfois par engrenages l'arbre des pompes, qui tourne alors moins vite que l'arbre de la machine. Pour l'épuisement de l'eau des mines, on emploie encore quelquefois, notamment en Angleterre, les machines à tiges Davey, qui dérivent de l'antique machine de Cor! nuailles; mais les pompes souterraines refoulant l'eau d'un seul jet, commandées par une machine k vapeur ou mieux par transmission hydraulique ou électrique, paraissent en général préférables.
vue de la rapidité et de la commodité du travail, des machines k trois manivelles calées k 120°. Les construc-
36. — Machine soufflante (lu Creusot (Revue de mécanique, 18118,' 1" sem., p. 227).
Les machines soufflantes sont horizontales (fia. 36), pilon (fig, 37), ou même k balancier. Sur les machines de laminoirs, on consultera avec intérêt un travail de M. Clamons dans le Bulletin de la Suciété de l'Industrie minérale (7 juillet 1900), dont l'analyse est donnée dans la lier ne de mécanique '1900, 2" sont., p. 675). Ce mémoire conclut k la supériorité, au point de
FIG.
37. — Machine soufflante compound pilon de Furness, Westgart and C° (Revue de mécanique, 1899. 1" sem., p. 110).
teurs allemands Ehrardt et Schmer avaient exposé en 1900 une telle machine, k trois cylindres simples, avec distribution par tiroirs cylindriques conduits par coulisse de Ste-