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ÉTUDE SUR LES MINERAIS DE FER SCANDINAVES

particules de gangue que l'enchevêtrement des grains de magnétite pourrait retenir. Le stérile et le non-magnétique tombent alors dans les conduits évacuateurs C, tandis que le magnétique, en remontant le long du cylindre,

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Le Grôndahl n° IV (fig. 28 et 29) n'a pas non plus d'application actuelle en Suède. Il avait été créé surtout en vue de réaliser un appareil extrayant la magnétite de cou-

A - Arrivée desmatiéTes 1) Surface de cylindre B Pôles d' armautatiarL FIG. 27.

— Schéma de l'appareil Grôndahl n° III.

sort progressivement du champ d'influence ; les dernières particules qui ne sont pas encore détachées sont raclées par un courant d'eau. Suivant la nature des minerais, on peut faire par un compartimentage approprié deux catégories de produits avec les magnétisés : des mixtes qui se détachent les premiers et du slig riche qui est surtout enlevé par le dernier courant d'eau. On peut aussi, au lieu de faire cette séparation en deux classes, envoyer l'ensemble du magnétisé sous le second pôle de l'électro-aimant, où un enrichissement au second degré pourra être réalisé (cas de la figure). — A Herrang, il y a eu quatre électro-aimants en service simultanément, soit huit cylindres ; la consommation de courant d'aimantation sous 108 volts était au total de 14 ampères; le débit par électro-aimant est d'environ 1.200 kilogramme s par heure.

FIG. 28.

— Appareil Grôndhal n- IV.

tai

>t d'eau qui amène le brut au séparateur, de façon à Pouvoir briqueter lo slig immédiatement sans avoir besoin ^ passer par des installations secondaires intermédiaires dégouttage avant la presse à briquettes. Tome XIX, 1911.

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