Annales des Mines (1913, série 11, volume 3)
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LA HOUILLE EN HOLLANDE
- I
sence du trias encore mal limitée ne permettent pas de faire une coupe précise. » En ce qui. concerne la richesse du gisement, c'est la zone des charbons gras qui est la plus favorisée ; les résultats d'ensemble sont les suivants : Sondage
N°6 : 371 m de houiller sondé 10 : 410 — — 12 : 364 — 13 : 323
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2,47. Charbon exploitable 29-20 M. V. 2,50. 25-15 — 4,6 (pour les charbons gras moyens) 25-20 — 2,30. — 22-16 — 1,50. 25-20 —
Ces résultats sont comparables en somme à ceux de la Campine, où l'on a trouvé sur un faisceau plus étendu, il est vrai (*) : A Beeringen : 870 mètres de houiller sondé, 2 p. 100 de charbon exploitable en deux groupes, 33-25 p. 100 et 22-18 p. 100 de matières volatiles. Le groupe supérieur seul donne une richesse de 3,3 p. 100 ; A Limbonrg-Meuse : 320 mètres de houiller sondé, 2,4 p. 100 de charbon exploitable pour le faisceau supérieur, 27-17 p. 100 de matières volatiles, (et 1,6 p. 100 pour l'ensemble à 27-12 p. 100 de matières volatiles); Aux Liégeois : 600 mètres de houiller sondé, 3,5 p. 100 de charbon exploitable, 36-22 p. 100 de matières volatiles. Au point de vue de la profondeur du houiller, les chiffres du Peel sont nettement supérieurs, variant de 670 mètres près de la Meuse à 800 mètres au sondage n° 13 et 914 mètres dans le nord. La Campine donne : 480 mètres à Limbourg-Meuse, 560 mètres aux Liégeois, 600 mètres à Beeringen. (*) D'après la circulaire n" 4083 du Comité des Houillères. MM. Forir, Habets et Lohest (Annales Soc. géol. de Belgique, t. XXX) donnaient comme moyenne des sondages : 3,1 p. 100 de charbon exploitable pour les faisceaux compris entre 47 et 20 p. 100 de matières volatiles.