Annales des Mines (1816, série 1, volume 1)
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DU IAPAI1TEMENT DE LA LOIRE.
/CNES DE HOUILLE 84 A été peu --- 15 décimètres d'épaisseur. foui liée. Couche P. Epaisseur de 14 décimètres. de 18 mètres On cite le puits de Changepleney, abandonné depuis 2o ans à raison
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qu'on appelle la cens, est souvent de t franc 5o centimes par tète de Équeur et de sol teur
employés dans la mine ; au reste cette cens varie suivant l'état de la mine, la facilité de l'exploitation. Les exploitations de la Mine de l'Hospice donnent au propriétaire le septième du produit
de profondeur, médiocre quade l'affluence des eaux et de la lité de la houille que fournit la couche. Couches de Beaubrzzn: La couche Q se montre à nu dans la carrière épaisseur est de i i dédu sieur Fauvain; son cimètres : la qualité de la houille en est médiocre. Là mine du sieur Fauvain, en activité depuis Carte X. cette couche. Couche Q. j810, est assise sur fendue. En 1812 on a emOuvertur s Il n'y a qu'une no,.36 ete3'7. 2,160 quintaux c....ne ployé 3 ouvriers. On a livréet 2,160 quintaux &Montand. metrictues de houille grosse, métriques de houille menue. de Couches 1* et S sur lesquelles on n'a point renseignemens satisfaisans. Epaisseur de 15 déciCouches T et U. 'Houille d'assez mauvaise qualité mètres. leur exploitation on a autrefois pratiqué pour qui avait son orifice une galerie d'écoulement de Beaubrun. extérieur entre les deux domaines connue. couche V. Elle est peu s'agit, comme dans Dans le district dont il propriétaires des presque toute la contrée, les l'existence de la terrains ou l'on soupçonne le droit de houille, cèdent à des entrepreneurs préparales travaux faire les recherches etensuite , sous la charge toires, et d'exploiter les mines qui d'une certaine rétribution ; -dans rétribution, sont actuellement en actiy.ité, cette
bru t.
La houille est sortie à dos d'hommes de toutes les exploitations des environs de la Rieamarie;
chaque sorteur doit monter un nombre déterminé de faix pour la journée ; ce nombre, et même le poids de ce fardeau, varie suivant la
profondeur des mines. Les journées des ouvriers sont payées i franc 5o centimes à 2 francs. L'exploitation se fait par galeries horizontales et galeries sur la pente, dont la largeur est de 2 mètres à 2 mètres 5o centimètres. Tant que l'on avance, on laisse des piliers très-épais que l'on enlève plus tard en revenant sur ses pas, après avoir atteint les limites assignées d'avance à l'exploitation; on parvient à ne guère laisser, dans les mines que l'on abandonne , que le huitième, et quelquefois moins, de la houille renfermée dans l'enceinte de l'exploitation. Toutefois ces exploitations partielles entraînent une énorme perte de combustible, par les obstacles qu'elles créent pour les exploitations à venir. Les galeries d'écoulement qui existent aujour. d'hui dans le district de la Ricamarie , sont in-
suffisantes; ce n'est qu'a l'aide d'une machine d'épuisement puissante ou d'une grande galerie d'écoulement coir fuite dans l'une des couches, à partir du trablin ( le pied du pavillon placé dans le groupe sur /a carte), qu'on parviendra à
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