Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1817, série 1, volume 2)

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SUR DES FOIMEArX

briques réfractaires jusqu'à la hauteur de 20

pieds au-dessus de la réunion des rampans. La cheminée des deux petits fourneaux pro-

étant à double tuyau, présente phis de largeur dans un sens que dans l'autre ; la plus grande dimension est de 56 pouces, la plus petite de 56. Le contour de cette maçonnerie est formé d'un mur de 12 pouces ; la cloison qui sépare p(Ssés ,

les deux conduits n'a que 8 pouces, ce qui laisse à ces ,tuyaux un pied de côté. Quelles

Jusqu'à la hauteur de 20 pieds au-dessus du

sont les par- bec de la voûte , ou de 32 pieds 8 pouces.auties de la che-

minée cons- dessus de l'aire de la fonderie , les murs de "'Li"' en contour sont garnis en d'édans d'une largeur briques réfractaires de 4 pouces en briques réfractaires , posées le long des faces de la cheminée, de manière ce-

pendant à ce que les joints des briques se croisent

à chaque lit. Le mur de cloison est formé debric[ues, également réfractaires, toujours pesées à plat, et alternativement en long et en large. Les murs qui entourent la chemise, et la totalité de l'épaisseur de ceux qui existent au-delà

dela première retraite, sont construits en briques ordinaires; elles sont également placées à plat et

alternativement dans le sens de leur longueur et largeur ( t). Des retraiPour diminuer le poids de la cheminée et lui (1) Je crois devoir donner le conseil de former, lors de la construction de la cheminée, de petites voûtes de décharge immédiatement audessus de toutes les parties formées de briques réfractaires, afin de n'avoir qu'à soutenir le poids de ces portions de maçonnerie lorsqu'on les renouvellera,

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A RÉVERBkRE. donner plus de solidité il est convenable de par- ies de la clie.

tager la partie qui s'élève au-delà des 20 pieds mi"e' existons au-dessus du bec de la voûte, en deux retraites d'égale hauteur la première partant

de ce niveau de 2o pieds ; cependant je dois faire observer qu'il ne peut y avoir qu'une:re-

traite sur les côtés longs de la cheminée, tandis qu'il doit y en avoir deux sur les faces opposées: Cela tient à la nécessité de laisser tout autour de la partie supérieure de la cheminée, et jusqu'à la seconde retraite, un mur d'un pied d'épaisseur : ainsi la retraite pour les côtes longs

n'a lieu qu'a la deuxième retraite des autres

côtés. Ces retraites doivent se faire par parties égales

et sur la hauteur de quatre à cinq briques, afin de présenter un moyen d'écoulement aux eaux pluviales.

L'armure des cheminées était autrefois un

De Par-

objet assez dispendieux , en raison des barres mure. de la cheminée. extérieures et intérieures qu'on y employait pour soutenir la masse entière de la maçonnerie. On

commence à abandonner cette méthode à laquelle il en a été substitué une autre bien plus simple. Elle consiste uniquement dans l'emploi de fer plat de 4 à 5 lignes sur 2 pouces au plus de largeur : ond'épaisseur, refend ces barres coupées de longueur convenable., à leurs extrémités et en travers de leur épaisseur, de manière à permettre de former à chaque bout deux crochets reployés en équerre et en sens contraire, ayant chacun au plus 5 trois pouces de hauteur, et environ un pouce de largeur. -Les deux premières barres sont placées sur leur plat et sur la masse entière de la maçon-