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SUR- LA - mtny MAGNETIQUE.

En réfléchissant sur. ces effets; j'ai--)conett l'idée de diminuer tellement la force qûi S'op;posd au mouvement de- rotation de q,u'elle fût .incapable de dérober celle ci à

,raction de quelques ..'partieu(les defer qui, dans une expérience faite- &jordinaire raient sur elle qu'une influence censée nùlle. Pour y parvenir, je dispose,d'abord à une, certaine distance de. l'aiguille; eau:rame niveau, d'un côté 'ou de l'autre, par exemple vers le

midi, un barreau aimanté ,,dontla clirection,Soit, autailt qu'il, est possible, sur le proiongernenç de celle de.c'ette aiguille., et-dont les pôles soient renversés à l'égard dessiens,,Ot). Jeifais avancer ,ensuite doucement le barreau,yersAaiguille. Vèiulant ce mouvement, le,pol.doréal du ban,. t-re-au, qui ,*al.in,çenant est IQ-plis:voisin de;l'afr agirLpai:. a Ltra ct iota, sur,- le pôle an§ir,a1

"de celle-ci,iper,..,>répulsion' sur son pole real, en sorte que- les deuxaçtions rorit pour faire tourner l'aigiujile. dans,-conspue-7 1.1A,:s'eris pu auns l'autre ().,Le pôle,a4stral duibarream -"exercera des actions .contraires sut les pnil3s de l'aiguille.; "mals.,compe.,elleseelifoet de plus loin, Je pole 1oregpourra, etre çonsJco' -

é ao.issant seuiL

avec une,forcepro,

T1' i; garainir' des agitations de l'air, .M7.7+, je ia place avccsoirTstrppôft-- au fond d'i-tne ca p5re?, cré 3

forMe carrée, ouverte par le liant, lé,sorps que je Veiné Sonmettre,à l'expééiene, Ies,tepaie àitaichés l'atrémiti.: d'un petit CSlindre Vn ne peut mpposer que les centres d'aption,gu Éarrom el'a")ikiiiile` reeient si exactement sur uneun4me dirtcticM ,

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soit.;simplemen t poussée pïe,ndire: aticnn mouvement de rotati9n.

n esfqu'idéal.

1.;

le nord,, ,san§

tiiiib

SUR LA: VERTU MAGIVTIQUE.

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portionnelle à la différence entre ses actions et celles de l'autre pôle. De plus, -comme les forces dont- il s'agit concourent à faire tourner rai-guille dans un même sens, nous pouvons les' supposer appliquées à un même pôle de l'aiguille,'

par , exempie au pôle austral, en augmentant convenablement par la pensée. celle qui attire ce pôle. Concevons l'aiguille arrivée au point où sa nouvelle direction ferait un angle de io avec' le méridien magnétique, et faisons abstractioa de la petite résistance qui a lieu au point de suspension. A. ce terme, la force directrice de l'aiguille sera en équilibre avec la force attractive du barreau. Si l'on continue de faire avancer celui-ci vers l'aiguille, l'attraction qu'il exerce sur son. pôle austral s'accroîtra à raison d'une moindre distance, et en même temps la force directrice de l'aiguille augmentera, par- une suite de ce que cette aiguille fera un plus grand

angle avec son 'Méridien magnétique. Mais l'augmentation dont il s'agit aura lieu par des degrés dont les différences-iront en décroissant (1). Enfin, lorsque l'aiguille sera parvenue à une

,direction perpendiculaire surile méridien gnétique, la force directrice aurai atteint son maximum.' Jusqu'alors l'aiguille restait immobile, toutes les fois que l'on ;arrêtait: le mou-

vement progressifAu barreau, par une suite (1)È'est une -c-ônséquence de ce que; quand les arcs _qui mesurent les quantités dont l'aiguille.'searte- du plan de SQlli Më.14itlien augmentent par 'des différences égales, les sinm, ébfréspondans qui'y comMe. je l'ai:dier:inesurent les fqrcés, dir'èctéices, diffèren't de indihs en moins ies uns dés autreS; en ,înrte qu'aux approches de l'angle droit, ils Sont presque égaux.