Annales des Mines (1818, série 1, volume 3)
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STRONT1ANE CARBON'ATÉE
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ET ARRAGONITE;
Un des' obtenir exactement l'angle de 1200. de diagonales susceptibles rapports entre les La conduire à cet angle serait celui de 8 à V27. formule, dans ce cas, donne 17 pour le nombre cherche de rangées soustraites (1). Mais si l'on elles la valeur de l'angle que feraient alors entre que cet les deux faces M, M (fig. 5), on trouve
Neumarkt, de Saalfeld, de Minden, de Bastènes et de Lirnburg , dans lesquels ils n'ont pas trouvé de carbonate de strontiane. De plus, leurs opétions répétées sur des variétés analysées par
M. Stromeyer, ont donné des quantités sensiblement plus petites du même carbonate que éelles qu'avait annoncées ce savant. Par exemple, de deux variétés d'arragonite de Vertaison en
angle serait de i 14° au lieu de 1160, c'est-à-dire trop faible de deux degrés; et dans la variété symétrique on aurait pour les deux plus grands angles du prisme, 152° au lieu de 128° que que donne l'observation. Les autres hypothèses
.
France, l'une n'a offert que r sur ro° parties, et l'autre seulement 2÷, au lieu de 4, ce qui était la quantité indiquée par M. Stromeyer. Parmi les 'cinq variétés dans lesquelles MM. Bucholz et Meissner avaient cherché inutilement la strontiane, l'une, dont il existe des
à prouver j'ai essayées concourent également les formes des que cette analogie d'aspect que avoir l'une avec deux substances ont paru 'mentie par les l'autre, non - smilement est d l'ordre des faits observés, mais n'est pas dans absolument possibles. Elles n'ont entre ellespas même de aucuns traits de ressemblance, rien, en supposant ceux qui ne prouveraient qu'ils existassent. des recherches lime reste à parler des résultats composition de récentes qui ont été faites sur laqu'ils ont dû apl'arragonite , et des changemens l'on avait conçue de porter dans l'opinion que découverte annoncée par ce minéral d'après la M. Stromeyer. l'année MM. Bucholz et Meissner ont publié ils exposent mémoire dans lequel dernière un qu'ils ont faites des arles résultats des analyses différens , savoir ceux de ragonites de cinq pays
morceaux dans ma collection, est celle de Bastènes. Je suis redevable de ces morceaux à M. Prevost, minéralogiste d'un mérite distingué, qui les a rapportés de- l'endroit même
il y a quelques années. J'ai détaché de l'un d'eux, qui est un groupe composé de plusieurs agrégats de prismes d'arragonite, un gros' fragment que j'ai remis à mon célèbre confrère M. Laugier
en le priant de le soumettre à l'analyse; et il a obtenu des octaèdres très-prononcés de nitrate de strontiane. Mais la quantité qu'ils renfermaient de cette terre, évaluée par approximation, n'était que de -,-,E5r-07 de la masse.
Il a répété depuis son opération sur des cristaux aciculaires d'arragonite de Baudissero en Piémont, retirés aussi d'un des échantillons de ma collection, et sur un morceau de la mênie substance, en masse presque compacte, trouvé 'dans le pays de Gex. Mais ni l'une ni l'autre de ees variétés ne lui ont offert la plus légère trace de strontiane.
1) g et (73 (t) Le rapport entre ix et az ou entre alors celui de 18.8 à 16V27, ou de 1/5z
(7i
lot
p devient
3, ainsi que cela doit être.,
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