Annales des Mines (1818, série 1, volume 3)
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DES ANCLES DES CRISTAUX:
SUR LA. MESURE
Le plus volumineux des cristaux qui m'ont été envoyés par M. Selb , et que représente la figure 9, offre des faces s ,1, que je n'ai observées sur aucun des cristaux d'Angleterre; c'est ce qui
m'engage à donner ici 14 description complète et de la variété à laquelle appartient ce cristal e , que je nomme déci-sexdécima ie. Mais je' dois prévenir que pour des raisons dont l'exposé m'entraînerait trop loin de mon. sujet, j'ai adopté relativement à toutes les:formes secondaires, qui ont pour noyau un oetaèilie la méthode qui se trouve indiquée dans Men rrraité (t. 1, p. 464 et s.) pour celles .qui dérivent'. de l'oc-
taèdre régulier. Elle consiste à transformer l'octaèdre en parallélipipède, .p41'addition de deux tétraèdres semblables à ceux que donne la division mécanique .sur deux faces opposées de cet octaèdre, et a éensidérer les,décroissemens d'oh dépendent les faces secondaires, comme ayant lieu sur le bord-s4"-nt sur les angles du pa rainé' i7 pipède , pal.74es.;$0:ustractions d'une ou plusieurs
rangées ,de,ppliWparallelipipèdes de la même forme. LeparalepipèdeHsubstitué à l'octaèdre dans le cas Préseut , et quTei'l.',--on, voit (fg.,
résulte de l'application de deux tétraèdres sur la ) et sur son opposée. D.'après,eette face manière de voir, le signe représentatif de la vaPI
(fio-b
4
dont il s'as,it est P E
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0
Les décroissemens qui donnent les façes-1,. s, (fig. 9. ) ont entre eux un lel rapport, que les intersections y, y des premières avec S et et sont exactement parallèles.
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Voici la mesure des divers angles qui ré-
sulte de ma détermination Incidence de P
sur Pt", 7Ga. 12 f.
Prt sur Pf, I osa' 52". Sur
tgd:
sur 0,
P" sur o, surs,
129.1.14.1. 5 4'1;;Y714
140.4o1'. sur Pli, I55" 15 f. sur s, 66d.25/. sur o,: 455a. 55/.
Pli sur 's, 1 I 1
Avant den venir aux conséquences qui découlent de tout ice qui précède , je dois exposer la méthode que j'ai suivie , pour déduiredernservation les données qui m'ont servi à résoudre les problèmes relatifs à: la ',détermination des formes cristallines. Les quantités composantes des formules ,, qui représentent généralement
-les côtés des triangles que j'appelle mensura'leurs , expriment certaines lignes que l'on petit concevoir tracées sur la surface des solides priAnitifs, ou menées dans leur -intérieur; telles diagonalesdes faces, les axes, les lignes menées perpendiculairement Sur ces axes , soit du.
centre des aces, soit des angles solides. Si la
formulerse -rapporte , par exemple, à un rhom,boïde , elle renfermera les expressions g et p des
moitiés de la diagonale horizontale et de -que de chaque rhombe, l'expression a de Paie, ,et celle de la mesure du décroissement à déter-. miner, ou du nombre de rangées soustraites-que l'on désigne par a. Cette dernière expression toujours simple, ou du moins ne s'écarte de la simplicité que jusqu'à un degré peu reculé. A