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Annales des Mines (1820, série 1, volume 5)

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EXPÉRIE(CES ÉLECTRO-MAGItÉTIQUES.

de plus à cette dernière manière 'de concevoir l'existence des courans électriques dans les aimans; mais comme presque tous les phénomènes

DESCRIPTION

connus jusqu'à présent s'expliquent également

De nouvelles grilles à barres creuses, pour

bien dans la première, il a cru devoir laisser cette

les fourneaux et les foyers;

question indécise, jusqu'à ce que de nouveaux calculs et de nouvelles expériences aient fourni toutes les données nécessaires à sa solution. L'auteur a donné dans les mêmes mémoires deux transformations de la formule

PA n M. IKIN (1).

G

nouveau système de. grille, pour lequel l'auteur a obtenu une patente en Angleterre le 27 janvier 1818, se compose de barres creusées dans toute leur longueur, à travers les-

gh sin. «, sin. R cos. y rz

elles consistent en ce que si l'on nomme k, la plus courte distance des directions des deux petites portions de courans électriques, c de ces directions, x, z, les distances des milieux de ces petites portions de courans à la ligne k, et u, y, leurs distances à l'intersection de deux

quelles on fait passer un courant d'eau. M. lkin: construit ces grilles de deux manières : eu les fondant d'une seule pièce, réunissant les extrémités des barres par une traverse, et laissant entre elles un espace suffisant pour l'admission de l'air, ainsi qu'on le voit fig. I, 2 et 5, Pl. VI; 2°. en formant des barres creuses isolées, les

plans élevés perpendiculairement sur ces milieux , la formule devient : gizç k' cos. e xz sin.'c)

ou

'olz (cos. c

uirsin.. .e.

Le travail de M. Ampère, dont nous nous sommes proposé de donner une idée sommaire, a été publié dans les Annales de Chimie et de

Physique, cahiers de septembre et d'octobre, et imprimé à part, chez Crochard , libraire, cloître Saint-Benoît, no. 16, à Paris.

recourbant à leurs extrémités et les joignant bout à bout au moyen des embases dont elles sont munies. Il résulte de cette disposition indiquée par lafg. 4, un canal continu et serpen-

tant, destiné à revevoir un courant d'eau d'un réservoir supérieur par un tuyau de fer ou de

cuivre D fig. 5, lequel s'adapte à l'une des

ouvertures de la

un autre tube E conduit

le fluide échauffé par son passage à travers la grille, les parties du bâtiment où l'on en a besoin.

Le nombre, la longueur et l'épaisseur des

(1) Cet article est extrait du Bulletin de la Société d'Ettempl

meulent pour l'induerie nationale.

-,,semeseLeram,