Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1821, série 1, volume 6)

DE 'DA- FRANCE.

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ii

fiériefëtibné faut enVier'en aucun tempS. à ceux

qui eint créé une Voie ininvelle, le produit, quel qu'il sbit , d'une navigatibii qui n'existerait:Tas sans leur intervention. D'ailleurs le revenu fiscal d'nn intérêt'Secoridaire 'd'un péage n'est bhi`fe..GeniVerdêniene.i Ce n'est OS': dans la OUVUIViieïrdlitenir ce réVéfrii- que zait'4.-; 'grands fraits. hb.."cânal ou' iftiè

• Ce

lebtite 'OF terre il ',à l'a» répètë;,,d6riapprditif.61),0àé artifinéls, des'W'ritoires éher 'Par dès que fd.- patnée a séparés; dé faire cdniihiiniquer êntre,ê1les'des preyiike`S'Iii:sont pi.leek'de décgeint Ibtiebég et d'au trèS.

croître la valeurdes produits du sol, de clôner U e n couragr

è plus à l'râ'gric uli

'de soutenir et: de d'industrie; en1indfà'éiffièr à làiii.ciciiittioh les cligrélefe./a, Con s den a Éon. ési- *aussi d'iniër gi"Wnd'é importai:Lee pour

-±labeti.§.

faèilàét moins éiiâteux IFàiiSeolq deS su bsi st`fibès,pi i.atri*Oni à Mbills '-'ellée'abbiiddnii,ditig'C'enk 'de frhigletelieuk.

-l'Etrà'de;rendre

bh 1e eégill idés apPélbeikinbYé'n wtt4 ; " puissarit'ué tons ; ue prevenir uans tfu_ 'vaste royaume l'excessive élévation des prik;'èird'âC."'ieà' en dinieir l'effet des disettes Vain4iie l'attatiniWaerli)aaintiendrait; e'ern'M'e à l'époque désastreitse die l'a fait aiiéé:

de 1817, la libre ciFciilâtion des grainS dans l'in-

eur , si ;- à dé faut de bonnes c om munigeàtibhà, le-boinmerce était conclainhé âne pas us'eÊde cette

liberté. 'Enfin n'est-ce pas le deVe'dà

'efaire*feiis ses effatS

lesdirerse's

contrées du royaume puissent jouir, der-nos charbons de terre, de cg prcieux combusible que le territoire français recèle en abondance, mais seulement sur certains points, et qui ne pourra se répandre au loin et féconder toutes

industries que par le secours d'une ,navigation complète et perfectionnée ? C'est ainsi que se créent des propriétés nouvelles; ainsi naissent des produits nouveaux ; par eux s'augmentent la richesse publique et nécessairement aussi les revenus du trésor. Voilà les biens réels, cett4. auxquels il faut s'attacher ; et l'on ne peut pas mettre en comparaison la réversion d'un droit de péage au bout d'un siècle. Je n'ai énoncé qu'une Partie des avantages matériels qui résulteront de la construction des canaux. Je pourrais en indiquer d'autres d'un ordre plus élevé, parler de l'influence des com-

munications sur les murs, et faire remarquer la singulière différence qui existe, même au seini royaume entre des contrées traversées. en tous sens par des routes, et celles qui en sont privées. Je pourrais sur-tout faire sentir que des communications de toute espèce, dans produisent un pays aussi étendu que la France, l'he.ureux effet de lier entre elles et d'assembler

les diverses parties d'un grand tout, ce qui. contribue à les maintenir sous une même loi politique et sous un même gouvernement. J'ai montré que le Gouvernement devait admettre la condition de perpétuité, lorsqu'il ne trouvait pas de capitalistes disposés à se contenter d'une concession temporaire; mais je me dissimule pas que le système de concession perpétuelle_prive l'administration, de 1.4 façglé