Annales des Mines (1822, série 1, volume 7)
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Si l'espace compris entre deux palettea était entièrement rempli d'air, la quantité fournie pendant l'unité de temps serait V--28-z-r; mais eeinnle cet espace se compose d'un volume yf d'air et d'Un -Volume y d'eau, i quantité réelle"Ss nent fournie n'est cutaev_if 1/2gzi. 04à e(klif
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NOTE DES RÉDACTEURS Des Annales des Mines. Cette machine (dans laquelle les mêmes p-a lettes servent tout-à-la-fois à recevoir la pression de l'eau motrice et à comprimer l'air dans un réservoir d'où il s'échappe par une tuyère), paraît aussi ingénieuse qu'elle est nouvelle; cependant il est permis de douter que son usage puisse être bien avantageux. On voit en effet que toutes les palettes ou patenôtres de ce chapelet devront glisser moins librement dans la buse que dans le chapelet ordinaire qui sert aux épuisemens, afin que l'air ne puisse passer d'une case dans une autre ; ce qui donnera lieu à plus de frottemens fn à plus de réparations. On conçoit aussi que la eomme des résistances provenant du frottement de toutes ces palettes sera plus grande que celle du piston unique d'une machine soufflante ordinaire à piston. On peut donc penser que cette nouvelle espèce de soufflet n'est pas préférable à plusieurs entres machines soufflantes connues et notamieent à la vis d' Archinzède , que M. Cagnard a imaginé, le premier, de transformer en un véri-
table soufflet. (Voyez le Journal des Mines , tome XVI, page 469.) Toutefois, le chapelet soufflant du Hartz est une invention nouvelle qu'il est utile de faire
connaître, parce qu'il est possible qu'on l'emploie avec avantage en certaines circonstances.